1. La première année en faculté de médecine du Mâle dominant (1)


    Datte: 17/02/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    La première année en faculté de médecine du Mâle dominant.
    
    Si vous êtes un (e) fan de mes histoires, Lucie vous a parlé d’un jeune étalon découvert chez Monsieur Paul et qu’elle l’avait retrouvé quelques années plus tard quand elle avait changé de gynéco.
    
    Relire « beau-papa fait mon éducation sexuelle et le jeune mâle dominant ».
    
    Cette histoire va conter sa première année en faculté de médecine.
    
    Je m’appelle Lucette, petite étudiante en deuxième année de médecine, 23 ans, 1m70, 57 kilos, 95E, bonne suceuse, blonde aux yeux dorés.
    
    Il ne faut pas être prude en fac de médecine. Ce n’est pas qu’un baisodrome, mais les occasions ne manquent pas. Tout commence d’ailleurs par un bizutage souvent interdit aux mineurs vu ce qui s’y passe.
    
    Ça ne me dérange pas d’en parler devant vous, voulant conter comment les choses peuvent vite évoluer.
    
    Dans cette fac, quatre garçons se prenaient pour les petits caïds et faisaient régner leur loi. Si vous vouliez exister, il fallait être dans leurs petits papiers et en passer par leurs désirs.
    
    Après un cours d’urologie, le professeur a abordé les troubles de l’érection. Ça n’a pas loupé, les blagues sexistes et les allusions grivoises ont fusé après le cours. Jules, mon voisin d’amphi fait semblant de se concentrer sur le livre ouvert à la page de cours du jour où un schéma de pénis s’affiche. Il prend soin d’effleurer lentement le schéma de la verge avec son doigt en me jetant un regard appuyé sur mon décolleté. C’est l’un ...
    ... des quatre mousquetaires, pas particulièrement futé, voire même très con du gars qui croit être irrésistible et qui essaie de baiser toutes les filles de la promotion.
    
    Avec les copines, nous nous retrouvons quelques heures plus tard dans une salle d’étude quand il rentre dans la pièce avec ses trois acolytes. Les allusions graveleuses fusent :
    
    — Vous voulez mettre en pratique le cours !
    
    — Venez tâter la marchandise !
    
    — On peut aussi toucher ?
    
    — Allez les filles... Ne faites pas les Saintes-Nitouches ! Pensez à l’honneur que l’on vous fait en s’intéressant à vous !
    
    C’en est trop... On se concerte et décidons de leur rendre la monnaie de leurs pièces en ne se laissant pas faire, mais en prenant l’initiative. Je reste sur la touche, car nous sommes cinq filles pour quatre garçons.
    
    Mes copines s’approchent chacune d’un garçon et lui mettent la main entre les jambes, soupesant leurs burnes en commentant :
    
    — Un peu léger Pierre !
    
    — Thomas... plus prometteur !
    
    — Avec Akim... Je crois que j’ai tiré le gros lot !
    
    — A voir... Je ne peux pas me prononcer !
    
    Les garçons sont si surpris qu’ils ne réagissent pas quand les filles débouclent leur ceinture et descendent leur pantalon.
    
    — Ah ! On y voit plus clair, s’exclame Elisa.
    
    — Au point où on en est, pour être fixées, autant voir la marchandise, rétorque Sandrine.
    
    Elle descend le boxer de Jérôme, aussitôt imitée par les copines. Chacune prend le « paquet » et me le présente. Je passe de l’une à ...
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