1. Du virtuel au réel


    Datte: 17/02/2021, Catégories: hh, init, hsodo, Oral Auteur: Evighet, Source: Revebebe

    ... peu moins). Sans penser à quoi que ce soit et dans un mouvement instinctif (comme si que j’avais fait ça toute ma vie), je dirigeai ma bouche vers son sexe et commençai à embrasser tout le long de la verge. Je l’entendais soupirer; ce qui me rassurait : jusque là, j’avais l’impression de m’en tirer plutôt bien. Il faut aussi remarquer que depuis que ma bouche s’était approchée de son sexe, j’avais cessé de respirer. Comment allais-je recevoir l’odeur qui émanait de ce corps étranger ? Au moment où je commençais à l’engloutir, je me suis remis à respirer; et fus surpris que ce sexe ne sente pas plus fort. Mais ce n’était pas plus mal…
    
    Son sexe devenait vraiment impressionnant lorsque j’eus réellement senti sa taille dans ma bouche. Mais j’en avais envie malgré tout. B. (c’était donc son prénom) posa ses deux mains sur ma tête et je sentais ses coups de hanche, ses va-et-vient qui violaient presque l’entrée de ma bouche tiède. Dans les films pornos que j’avais vu, je n’aimais pas trop cette position. Mais les films, sont les films ! Là, j’étais bien ! Je sentais mon désir monter un peu plus, en m’imaginant la vue qu’il pouvait avoir à ce moment là : moi devant lui, soumis, accomplissant ma tâche avec autant de professionnalisme qu’un expérimenté. Il se pencha et d’une main commença à masturber mon sexe. J’eus un léger sursaut de surprise au départ, mais par la suite je me suis laissé faire. Je me suis rendu compte que j’étais un piètre masturbateur durant mes plaisirs ...
    ... solitaires : il le faisait tellement mieux que moi ! Sa main était si chaude, si accueillante. Je soupirais encore et encore; ce qui fit monter son plaisir encore plus. J’aimais sentir son pénis aller et venir de ma bouche; comme s’il s’agissait d’une prolepse qui annonçait déjà ce qu’il allait m’arriver plus tard. Et plus tard arriva plutôt que prévu. J’avais l’impression de ne pas avoir sucé assez longtemps à mon goût. Je voulais tellement continuer et ne plus jamais m’arrêter. Mais ce qui allait venir était encore mieux !
    
    Il me prit la taille de ses deux mains puissantes et m’allongea délicatement sur le canapé. Je me sentais presque impuissant entre ses mains géantes. Tout ce que je devais faire, c’était de me laisser faire ! Je me complaisais dans cet état de quasi soumission. Il se pencha au-dessus de moi, pris chacune de mes chevilles et enroulant mes jambes tout autour de lui et m’embrassa. Enfin ! Le moment ! C’était un garçon qui apparemment avait senti que pour une première fois, y aller de suite à quatre pattes n’était pas la meilleure solution. J’avais besoin de douceur. Je sentais la pression de son pénis contre mon anus, alors je lui ai serré le bras. Il prit ce mouvement pour une incitation à ne pas y aller trop vite :
    
    — Pas encore ? Ok, ça va… On attend encore un peu !
    — Non non, vas y ! Mais je voulais te dire de mettre un préservatif…
    — Ok, ne t’inquiète pas !
    
    Il se redressa et enfila un préservatif. Je prenais plaisir à le regarder faire, les jambes ...