Jeanne la femme de mon patron (3)
Datte: 16/02/2021,
Catégories:
Masturbation
Mature,
BDSM / Fétichisme
Auteur: saintklausien, Source: xHamster
Je suis aux anges, inutile de le dire. Je porte à mes narines ce précieux « cadeau ». Quel parfum ! Ma seule préoccupation et de savoir comment je vais pouvoir faire pour que le temps passe jusqu’au coucher. Pfff, quelle galère.
De retour chez mes parents, après le bonjour m’man, bonjour p’pa, je file dans ma chambre et cherche un endroit pour y planquer mon « cadeau ».
Je vous passe l’épisode de la soirée, du repas et de la douche. Je n’attends qu’une chose c’est d’aller « étudier » comme le croient mes parents.
Enfermé dans ma chambre, je m’empresse de mettre les collants et pardessus ma culotte de pyjama.
Je me mets sur le lit, baisse les couvertures et mon pantalon sur les chevilles. Je suis torse nu, un livre de cours à portée de mains.
Je regarde mon sexe mou emprisonné sous le lycra. Sous mon oreiller les sokas de Jeanne. Je les avais enrobés d’un mouchoir propre, histoire de ne pas altérer leur précieuse odeur. Délicatement, je les déballe et les renifle comme un chien.
Il ne me faut pas trente secondes pour que mon sexe se raidisse à me faire mal. Je ne le touche même pas. Rien qu’à le regarder c’est suffisant, je me branle avec les yeux…
L’odeur des sokas est très fine, envoûtante. En plus de cela, qu’imaginer… Jeanne qui manifestement a compris mon petit jeu. Jeanne qui en me faisant ce « cadeau » entre dans mon jeu et veut y participer, c’est clair.
Mes pensées tournoient dans ma tête, je fantasme à fond. J’ai juste le temps de baisser mon ...
... panty et sans même m’avoir physiquement masturbé, j’éjacule encore et encore. J’en ai jusque sur le torse. J’ai mal au sexe tellement il est tendu. Je m’essuie au plus vite et cache ma panoplie. Je suis vidé, ravi, presque pleurant de joie.
Mon seul objectif ? Mercredi après-midi. L’atelier, Jeanne.
La soirée du mardi se déroule à l’identique, mais ici sans les collants. Je m’amuse à promener doucement les sokas sur mon torse, ma poitrine et mon sexe. Sans jamais le prendre en main. L’érection est là, dure à me faire mal. Je promène encore et encore le soka en le tenant à deux doigts, de l’autre main, je hume le délicat parfum. Même éjaculat libérateur.
Me voici enfin mercredi, inutile de dire que je n’ai fait que survoler mes cours ce jour-là.
Donc à 1300 heures, après avoir mangé au lance-pierres, je me présente en salopette de travail au commerce. Jean et Jeanne sont présents dans le magasin, ils font du rangement, ils viennent de réceptionner les commandes du mois.
Je suis stressé, j’ai l’impression que cela se lit sur mon visage. Mais aucune remarque ne m’est faite, j’ai le bonjour du couple.
Jean est en salopette comme moi et Jeanne comme à son habitude, pull fin en laine bleu roi jupe portefeuilles écossaise portant sur le bleu également et fermée par une grosse agrafe et s’arrêtant dessus le genou, panty noirs presque opaques et chaussures fermées à talons bas.
Je vois bien que Jean est nerveux, très nerveux, c’est pas trop à son habitude. Mais je ...