1. Balade à Lille


    Datte: 15/02/2021, Catégories: fhh, couplus, jardin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, amiamour, lieuxpubl, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... aller ! Posément, il me caresse les fesses, éprouvant leur volume, les soupesant, les massant, prenant possession de mon petit cul. Honnêtement, j’aime beaucoup ! Et je me laisse faire sans aucun problème !
    
    Il ose même s’aventurer un peu dans le sillon de mes fesses, frôlant délicatement mon entrée toute ronde et sombre. Je frémis… Je me demande s’il se risquera à continuer un peu plus loin… Un doigt un peu plus aventureux s’enfonce légèrement dans ma fente détrempée, se chargeant de cyprine. Il y reste un peu, puis remonte lentement, très lentement entre mes fesses. C’est tellement bon que j’en vibre ! Puis le bout de ce doigt entreprenant vient épouser l’arrondi de ma petite cuvette frémissante qui s’écarte légèrement. Une brève hésitation, puis ce doigt inquisiteur me taquine éhontément l’entrée des artistes ! Si je me laissais aller, je m’empalerais sans vergogne sur ce mini pieu narquois !
    
    Il reste là quelques instants, puis s’éloigne. Je suis un peu déçue, mais il est vrai que l’endroit ne se prête guère aux marivaudages !« Ah, pourquoi Valentin n’a pas voulu venir chez moi ? Je te l’aurais violé de long en large ! »
    
    Toujours collé à mon lapin qui a remis sa main baladeuse autour de ma taille, nous remontons toute la gare ; c’est long, mais au moins il fait bon, ici. Le train de Valentin est indiqué ; il arrive dans quinze minutes. Je propose d’aller boire quelque chose, une dernière fois. Nous dénichons une table libre et nous commandons nos ...
    ... boissons.
    
    — Ça y est, c’est fini. Tu rentres chez toi, là-bas au loin, mon lapin !
    — Tu es triste ?
    — Ouiii, je suis triiiste !
    
    Et je pose ma tête sur son épaule. Je reste ainsi quelques secondes, silencieuse. C’est Valentin qui rompt le silence :
    
    — Étonnant de ne pas t’entendre parler !
    — Pff, pas romantique pour un sou !
    
    Je me remets droite à ma place et j’observe mon voisin. Ou bien je me fais des idées, ou bien il est un peu chagrin. Il constate assez vite que je le fixe ; alors, pour se donner une contenance, il boit la moitié de son verre. Quelque chose me dit que quand mon lapin est gêné, il descend une bonne partie de son verre : bon à savoir. Je relance la conversation :
    
    — Alors, mon lapin, ça t’a plu, ce petit séjour à Lille ?
    — Oui, ça m’a bien plu, mais ça a été court !
    — Tu sais que tu peux rester un peu plus longtemps et repartir demain, par exemple.
    — Demain, je suis chez mes parents…
    — Tu peux repartir demain matin, tu sais…
    — Je sais, mais pour notre première rencontre, je préfère comme ça…
    — Si tu le dis…
    
    Je sais que monsieur a ses convictions. Bien que j’aie réussi à le faire craquer alors qu’il avait juré de résister ! C’est lui qui relance :
    
    — Ne t’inquiète pas, je reviendrai.
    — Quand ?
    — Je ne connais pas par cœur mon emploi du temps, mais dès que j’ai une date, je te la communique et je te promets que je resterai plus longtemps.
    — Promis juré ?
    — Oui, promis juré !
    
    Lui et moi, on dirait deux ados attardés, le tout sous l’œil ...
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