1. Balade à Lille


    Datte: 15/02/2021, Catégories: fhh, couplus, jardin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, amiamour, lieuxpubl, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... demi-obscurité bien reposante pour les yeux.
    
    — Tu veux quoi, ma chérie ?
    — Orangina !
    — Et toi, Valentin ?
    — Coca pour moi.
    — OK, j’y vais.
    
    Pascal se dirige vers le comptoir, me laissant avec Valentin. J’en profite pour poser ma main sur sa cuisse, le tout avec un grand sourire :
    
    — Ne t’avais-je pas dit que je comptais en profiter ?
    — Si… Je t’avais même répondu que je me posais la question de venir ici, à Lille…
    — Tu regrettes d’être venu ?
    — Pas encore, pas encore…
    
    Puis il regarde au lointain. Alors je change de tactique : je me lève de mon siège pour aller m’asseoir face à lui de l’autre côté de la table ronde.
    
    — Pourquoi tu changes de place ? s’étonne-t-il.
    — Pour la lumière…
    
    J’ai un peu menti, mais ce n’est pas tout à fait faux car là où j’étais assise juste avant, j’avais face à moi les grandes baies vitrées. J’en profite pour me déchausser car mes pieds me font à nouveau un peu mal. C’est avec une grande satisfaction que je peux à présent remuer les orteils ! Ça fait franchement du bien ! Puis, lutine, je glisse mon pied sur sa chaussure et je remonte sous son pantalon pour taquiner sa peau du bout de mes doigts de pied.
    
    Il frémit sous mon contact ; je vois bien qu’il fait un certain effort pour rester impassible. Décidément, il est comme mon homme, mon Pascal : presque sa copie en plus jeune, avec quand même des différences, différences qui me plaisent bien…
    
    Je caresse ainsi sa jambe tandis qu’il essaie d’entretenir une conversation ...
    ... anodine avec moi.« Tu veux jouer à ce jeu-là ? Très bien, moi aussi ! »
    
    Me calant mieux sur mon siège, j’ôte mon pied du bas de son pantalon puis je le remonte à l’horizontale, allant le nicher entre ses jambes. Mon gros orteil vient cogner quelque chose que je qualifierais sans problème de dur…
    
    Je vois distinctement qu’il serre les dents, mais ne fait aucun effort pour chasser mon pied vagabond. Tandis que du coin de l’œil je vois revenir Pascal et nos verres, j’en profite éhontément pour le caresser, montant et descendant le long d’une tige bien raide que je sens à travers le tissu. Pascal s’installe, distribuant nos verres, puis nous discutons tous les trois sans que je ne cesse de taquiner mon vis-à-vis.
    
    À un moment, Valentin serre les jambes pour bloquer mon pied, puis boit la moitié de son verre d’une seule traite. Je m’exclame, innocemment :
    
    — Eh bé, tu avais soif !
    — Plutôt… répond-il laconiquement.
    
    Et la conversation continue. Il finit par desserrer les jambes ; j’en profite pour venir plaquer tout mon pied contre son sexe, et j’y vais de bon cœur. Perversement, je caresse, je frôle, je câline cette colonne toute dure, épousant bien de mes orteils sa forme arrondie et moulée par un fin tissu. Je suis particulièrement flattée quand je sens sous mes doigts de pied de fines palpitations ; je suis fière de moi. Mais ce n’est peut-être pas tellement l’endroit pour qu’il arrive un « accident » dans le caleçon de mon lapin.
    
    C’est avec regret que j’arrête mon ...
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