1. Balade à Lille


    Datte: 15/02/2021, Catégories: fhh, couplus, jardin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, amiamour, lieuxpubl, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... demande :
    
    — On est où, là ?
    — Rue Jean-Sans-Peur ; ça donne derrière la préfecture.
    — Je parie, Zamour, que tu sais qui c’est, ce Jean-Sans-Peur…
    — Bingo. C’est un duc de Bourgogne et aussi un comte de Flandre et d’Artois durant la Guerre de Cent ans. Disons qu’il n’a pas vraiment aidé à clore rapidement ce conflit car il désirait relier la Bourgogne et la Flandre en un seul morceau, et le roi de France n’appréciait pas. Bref, il y a eu des tas de magouilles, des meurtres, etc. Jean-Sans-Peur est mort assassiné. Ne m’en demande pas plus, c’est tout ce que je sais.
    — Ton Jean est lié avec Charles le Téméraire ?
    — Je ne serai pas affirmatif, mais je pense que Charles est le petit-fils ou l’arrière-petit-fils de Jean.
    
    Nous avançons un peu plus dans cette rue déserte. Devant moi : rien. Je me retourne : rien. Ça me surprend quand même car nous ne sommes pas loin de diverses rues très fréquentées.
    
    — C’est quoi, ce gros bâtiment rose, là-bas, après le carrefour ?
    — Le lycée Fénelon.
    — On voit qu’on est période de vacances, alors. Non, non, je ne te demanderai pas qui est ce Fénelon. Sûrement un type de la Guerre de Cent ans, je suppose.
    — Raté, Louis XIV… au moins deux cent cinquante ans après.
    — Bof, de toute façon, j’ai toujours été nulle en Histoire…
    — Mais tu aimes qu’on t’en raconte, surtout le soir.
    
    Je claque des mains :
    
    — Oh oui, tu as une voix qui m’aide à m’endormir…
    
    Mon mari soupire :
    
    — Voilà à quoi sert ce que je sers : à endormir ...
    ... Madame…
    — Meuh non, Zamour : j’aime entendre tes histoires, et j’aime aussi m’endormir au doux son mélodieux de ta voix…
    — C’est ça, rattrape-toi comme tu peux !
    — Ne boude pas, Zamour !
    
    Je pile sur place ; emportés par leur élan, mes hommes me dépassent :
    
    — Hé, oh, les hommes !
    
    Ils se retournent tous les deux, répondant la même chose : « oui ? ». Ah, cet accord de mes deux hommes, ça me laisse toute songeuse sur ce qu’il pourrait advenir lors de galipettes à trois ! Décidément, je me dévergonde à fond ! Néanmoins, ce ne sera pas nettement pire que ce qui va maintenant arriver…
    
    — Pour redonner le sourire à mon Zamour et détendre l’atmosphère…
    — Atmosphère, atmosphère…
    — N’en rajoute pas, s’il te plaît, Valentin : j’ai les moyens de te faire taire !
    — Ah oui ? Et comment ?
    
    Sans mot dire, je remonte ma jupe, dévoilant en plein jour ma petite chatte bien fendue, telle un abricot bon à déguster. Et pour faire bonne mesure, je pivote lentement sur moi-même, dévoilant à présent mes fesses rondouillettes ! Quelques secondes plus tard, mes deux hommes refont face à mon entrejambe largement exhibé. J’attends un peu qu’ils aient bien maté, et hop, ma jupe retombe, cachant mes petits trésors.
    
    Je m’approche d’eux, les dépasse :
    
    — Alors, vous venez ?
    
    Encadrée par mon Pascal d’un côté et mon Valentin de l’autre, je leurs prends le bras, et c’est ainsi que tous les trois nous remontons la rue jusqu’au boulevard de la Liberté, moi et mes hommes !
    
    — On sent ...
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