1. Quand la chaire s’éveille.


    Datte: 15/02/2021, Catégories: Anal Partouze / Groupe Inceste / Tabou Auteur: Vopicek, Source: xHamster

    ... évitent.
    
    – Alors on va les deux sous la douche.
    
    – Si tu veux, dit-elle en se découvrant et lui présentant sa nudité affriolante.
    
    À cette vue, son jeune amant ne peut que manifester son enthousiasme en présentant une gaule qui sort de son pyjama. Le prenant par la main, elle l’attire vers la douche en se réjouissant de la suite. Mutuellement, les deux enlèvent les résidus amoureux qui polluent les parfums intimes de chacun.
    
    Une fois propre, après essuyage mutuel, où Luce devant cette marque vibrante d’affection que Ramon lui témoigne ne peut s’empêcher de lui donner un petit bisou sur l’objet de son désir.
    
    Bien que très fier de susciter un tel engouement, Ramon a une autre idée en tête, goûter ce parfum qui sort de l’intimité féminine.
    
    – Viens Luce, j’ai hâte de m’occuper de ton intimité.
    
    Elle s’étend sur le dos en laissant ses jambes fines posées sur le lit.
    
    – Commence par le bas, embrasse-moi les pieds, puis remonte en léchant les mollets, puis l’intérieur des cuisses.
    
    Sans contrariété, suivant les indications de sa maîtresse, il remonte jusqu’à l’aine en laissant traîner sa langue sur cette peau très fine. Arrivé à l’aine, à l’orée d’une charmante petite forêt de poils, agrémentée d’une clairière d’où jaillit une source divine d’un parfum étourdissant, comme l’abeille, il sort sa langue pour récolter ce nectar.
    
    Relevant ses jambes fines, Luce présente sa corolle, surmontée d’un joli pistil à l’abeille butineuse qui s’appelle Ramon.
    
    – ...
    ... Voilà, tu y es, plonge ta langue au milieu de ma corolle et essaye de boire un peu de mon nectar, ensuite, rien ne s’oppose à venir butiner mon pistil qui n’attend que ta visite.
    
    Mettant en pratique ces doctes conseils, Ramon plonge sa langue au milieu de la fleur de Luce et butine du mieux qu’il peut ce nectar sourdant des profondeurs de sa maîtresse. Il se pourlèche les babines en léchant ces lèvres qui sont si accueillantes et douces, finalement il remonte lentement vers la tête et au passage happe ce bourgeon érigé à l’entrée de la crevasse, il le suce comme un bonbon, créant chez Luce un véritable tsunami, les vannes de fond du barrage de l’amour sont grandes ouvertes, de puissantes giclées de cyprine viennent heurter le menton de Ramon, lui rappelant qu’il y a une suite à donner et que sa maîtresse attend probablement un complément à ce hors d’œuvre.
    
    – Somme-toute, je le fais à l’envers, j’ai commencé par les pieds et vais aboutir vers ta poitrine qui m’attend, je suppose avec impatience.
    
    – Viens en moi, je suis impatiente de te sentir dans mon ventre. J’ai faim de toi. Mon sexe appelle le tien.
    
    À nouveau, Ramon, présente son mat à l’entrée de la mer de Chine, à moins que ce soit le détroit de Gibraltar et d’un coup de rein brusque et pas sec, vu comme elle mouille, il s’enfonce dans les délices situés au milieu de ces cuisses.
    
    – Ha ! C’est bon, j’aime quand tu me mets ton sexe dans le mien, ils s’adaptent bien l’un l’autre. Et c’est encore meilleur quand tu ...
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