Quand la chaire s’éveille.
Datte: 15/02/2021,
Catégories:
Anal
Partouze / Groupe
Inceste / Tabou
Auteur: Vopicek, Source: xHamster
... communion entre nous, j’aimerais que tu restes des heures comme cela à te balancer sur ma queue qui apprécie si bien ton intérieur, mais toutes fois, j’aimerais aussi lécher ton sexe et ton bouton d’amour pour m’imbiber de ton parfum !
… J’ai ressenti tous les parfums de l’Andalousie, la passion de notre terre des Andals, le suc des fleurs de Grenade, la v******e des sentiments du Paso-doble ou du Flamenco, la générosité des terres du sud, tout, absolument tout !
– Pour moi, c’est la même chose, j’aimerais aussi bien lécher et sucer ce qui me laboure si agréablement le bas ventre, tu veux qu’on se mette en soixante-neuf ? Mais si tu jouis, laisse-toi aller dans ma bouche, pour te goûter jusqu’au bout. Je te sors de moi et on se met en tête bêche, tu es d’accord ?
– Oui mère, laisse-moi me faire envahir par la douceur de ton parfum intime, le goût tant désiré de ta chatte chatoyante, l’amertume de ton urètre et la rectitude de ton bouton d’amour.
– Ne serrais-tu pas poète à tes heures ? Moi je vais me contenter de ce beau bâton de chair qui va m’octroyer au fond de mon palais, son dû de béchamel brûlante. Il est délicieux ton dard, oint moi de ta sauce intime. J’en ferais volontiers une grande consommation.
– Tu n’es pas en retard dans les goûts et délices des instruments du péché. Tu régales mes papilles mieux que n’importe quelle quatre fourchettes de chez Michelin ou toques de Gault&Millau. Devant ce délice tellement aphrodisiaque, je ne peux retenir le ...
... déluge qui va envahir ta bouche ma chère mère.
– Je n’en attends pas moins bleurk, bleurk, bleurk, répond-elle la bouche envahie pas la crue millénaire du Gothard et après avoir dégluti ce raz de marée, elle réussit à finir sa phrase je n’en attendais pas moins de toi, il a un parfum ma fois tout à fait convenable, je dirais même plus, il y un petit goût de reviens-y. Ce qui est bien avec toi, même après avoir déchargé le surplus de virilité que tu m’as donné, c’est que tu es encore prêt au combat amoureux, mais j’aime tellement ton art de léchage que j’espère bien conclure comme cela.
– Je sais Mam que pour le léchage de chatte, je ne peux concurrencer Luce ou Line, ce sont des pros de la chose.
– Ne mésestime pas tes qualités, je ne connais pas leurs possibilités, mais je t’assure que ce que tu fais est super bon, même si je traîne un peu, c’est surtout pour pouvoir en jouir plus longtemps.
C’est ainsi qu’après les trois cent vingt-cinq coups de langue et demi, Éléonora, comblée plus que de raison rend enfin les armes ou son tablier que l’on pourrait assimiler à celui d’un sapeur.
– Ramon, je n’en peux plus, cela fait déjà trois fois que je grimpe aux rideaux et quatre aux stores, il faut que je me repose un peu.
– Comme tu veux mère, je commençais à fatiguer un peu de la mâchoire, la-quelle n’a pas suivi un entraînement intensif de loin s’en faut. Viens, rendormons-nous.
Le lendemain, les amants i****tueux ont tendance à faire la grâce matinée, et pas la ...