1. Début des cours


    Datte: 15/02/2021, Catégories: fh, fplusag, inconnu, profélève, école, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, jeu, sm, fouetfesse, f+prof, bourge, fsoumisah, hsoumisaf, Auteur: Satoch, Source: Revebebe

    Comme souvent, Severin traîne dans ses librairies favorites du quartier latin. Il prend son air curieux et sérieux et fouille un peu du côté des livres de SF, puis des polars, mais son regard ne cesse de balayer le bas de l’étagère, où il sait que sont rangés des livres interdits aux petits garçons. Tout en suivant du doigt les tranches des livres devant lui, ses yeux eux suivent les tranches du bas, essayant de reconnaître un titre, un auteur… Il sait ce qu’il lui en coûte de se baisser et de marquer ainsi son coupable intérêt pour cette littérature, aussi tâche-t-il d’éviter de se baisser pour rien, repérant une proie digne d’intérêt avant l’aveu. Et de proie, il en voit une : « Dresseuses d’hommes », un de ces titres qui provoquent des fourmillements singuliers dans le bas-ventre de ce grand et sérieux jeune homme.
    
    Il n’y résiste pas et plonge. La librairie est oubliée et c’est le cœur battant qu’il sort le roman du rayon. Il l’entrouvre, le feuillette, guettant les lignes, les titres, les quelques illustrations. Il commence déjà à envisager qu’il va lui falloir réunir son courage et se présenter à la caisse avec ce titre, lorsqu’un parfum capiteux lui fait soudain tourner la tête et découvrir à sa droite des jambes de femme. Il est paralysé, réalisant que cette femme est près de lui depuis un moment. Il regarde à nouveau droit devant lui mais voit se balancer tout doucement les bords d’une ample jupe plissée noire.
    
    À sa surprise honteuse à l’idée que cette femme a ...
    ... peut-être vu les illustrations qu’il feuilletait, Severin voit se mêler une sourde excitation. Excitation qui ne fait que s’amplifier lorsque, toujours pétrifié, il voit la femme poser un pied sur l’avant dernière étagère ; la longue jupe est fendue et si le mouvement ne peut montrer quoi que ce soit à quiconque dans le magasin, la position du jeune homme lui révèle une longue jambe gainée de noir, qu’il suit hypnotisé, de l’escarpin à talon haut, jusqu’à la boucle d’une jarretelle, en passant par le bord sombre du bas. Une seconde seulement car la femme rabat sa jupe sur sa jambe, d’un geste tout aussi naturel.
    
    Séverin a le feu aux tempes. Il voudrait se redresser, lever la tête au moins sur cette femme, mais ce qu’il tient encore ouvert entre ses mains et l’état de son bas-ventre le font hésiter. La dame tourne alors les talons, et dans un mouvement ample de la jupe, qui frôle le visage de Severin, les jambes et le parfum disparaissent. Il ne peut s’empêcher de suivre des yeux sa démarche, le balancement de sa jupe sur ses chevilles.
    
    Il attend que la rougeur quitte son front, que son ventre soit « présentable »… Il prend le livre, paye rapidement, trop troublé pour être même soulagé de découvrir un caissier renfrogné et indifférent, et sort enfin.
    
    L’air frais le cueille mais ce n’est qu’après quelques dizaines de pas qu’il reprend son calme. Il sourit de sa gêne et chasse la vision de la dame du magasin en détaillant quelques fraîches jeunes femmes… Il se sent à ...
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