1. Ma femme se lâche


    Datte: 04/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... tandis que je commençai à masser ses seins dont les pointes s’érigeaient sous mes doigts, tandis que Delphine, derrière ses verres solaires observait la manœuvre relevée sur ses coudes.
    
    -Je te connaissais plus pudique, lui murmurai-je , à l’oreille
    
    Sans ouvrir les yeux, elle balaya ma remarque d’un geste de la main
    
    -De toute façon, tout le monde le fait, répondit-elle, et puis ici, on ne connaît personne
    
    J’achevai de l’enduire de crème, quand Delphine lui demanda, si elle accepterait que je lui passe également de l’ambre solaire. Sandra ouvrit un œil et me dévisagea avant de répondre : pas de soucis, il va se faire un plaisir, énonça t’elle avant de refermer les yeux.
    
    Je contournai le transat de ma femme pour venir m’asseoir au bord de celui de sa voisine. Je m’enduis les mains de crème protectrice et entrepris de l’étaler en massant depuis ses épaules, en descendant le long de son dos, jusqu’au trait, après la cambrure, de son tanga bien échancré. Je passai ensuite sur une jambe en partant des pieds, et en remontant vers la fesse, avant de redescendre à l’intérieur de la jambe, qu’elle écarta complaisamment. Une fois revenu à ses pieds je passai à l’autre jambe, puis je massai les fesses en mouvements circulaires, de plus en plus larges, tandis qu’elle écartait plus largement les cuisses, mes doigts longeant le sillon fessier, en soulevant légèrement le tissu , ce qui provoqua un soupir de satisfaction. Sandra, la tête tournée vers moi devait m’observer ...
    ... derrière ses verres opaques.
    
    J’allais me lever quand Delphine se retourna, m’offrant la vue de sa poitrine, plus imposante que celle de Sandra , et saisit ma main pour la poser sur son ventre , m’enjoignant de continuer. J’enduisis donc ses épaules avant de diriger mon massage sur ses seins, que je trouvais fermes. Les tétons s’érigèrent sous mes doigts et devinrent vite durs comme du bois, je glissai un peu plus bas sur son ventre et ne pus m’empêcher de venir chatouiller son nombril, ce qui la fit frissonner. Je m’attaquais ensuite à ses jambes, en remontant vers le maillot. Quand je remontais le long de la gauche, après avoir tartiné la droite, elle la replia, en écartant un peu vers l’extérieur, dégageant l’accès à son entre-cuisse. Mes doigts pétrissaient l’intérieur tendre des cuissses, au bord de la culotte, et je profitais de cette jambe, savamment repliée pour glisser le bout de mes doigts sur sa fente, au dessus du tissu qui était bien humide. La tension était extrème. Je caressais une femme, parfaitement inconnue, il y a quelques heures, sous le regard de mon épouse, qui semblait comme anesthésiée par la chaleur. C’est du moins l’impression que j’avais, mais une voix , légèrement étouffée, venue du transat voisin me ramena à la raison.
    
    -ça va, on s’amuse bien
    
    J’enlevais aussitôt mes mains, et Delphine resserra ses jambes.
    
    Je rejoignis mon transat où je m’allongeais rapidement, à plat ventre, pour masquer un début d’érection.
    
    En fin d’après midi, notre ...
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