1. Ma patronne quand je travaillais dans l'habillement (1)


    Datte: 15/02/2021, Catégories: Transexuels Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... s’est refaite toute belle, puis m’a invité à aller aux toilettes pour me laver la figure; car j’avais de sa cyprine partout sur la figure à tel point qu’apparemment même mes cheveux étaient collés.
    
    En me laissant partir elle m’a dit qu’il serait bien que je vienne à voir régulièrement pour le je lui donne un petit coup de langue là où ça fait du bien; était ce ordre ou une invitation. Je ne savais pas trop quoi répondre; mais en même temps elle me tenait un peu par les couilles, si je puis dire. C’est ainsi qu’au début j’ai commencé à venir lui manger son entrejambe une fois de temps à autre une fois par semaine deux fois par semaine. Je lui demandais si cela ne dérangeait pas son compagnon; elle me répondait qu’est-ce qu’en pensait ma femme. Un soir au bout de quelques mois, alors que nous étions de fermeture tous les deux, elle m’a demandé de me débarrasser de mon t-shirt ainsi que de mon pantalon, quand je suis arrivé dans son bureau. À ma grande surprise elle m’avait acheté une paire d’escarpins, elle m’a invité à me promener dans son bureau ainsi chaussé. Ma patronne en plus d’être autoritaire était manifestement dominatrice, cela n’était pas pour me déplaire, il va de soit que le soumis que je suis s’est exécuté.
    
    Ce soir-là je faisais des heures supplémentaires, mais contrairement à mon travail habituel; j’étais occupé à donner du plaisir à ma patronne. Comme d’habitude j’étais assis dans son fauteuil confortable et elle assise sur le bureau jambes bien écartées ...
    ... et je lui donnais du plaisir. Il ne faisait pas très chaud dans son bureau, elles s’en en rendue compte; mais elle avait pensé à tout, elle m’a fait enfiler un peignoir satiné ou ne peut plus doux et on ne peut plus excitant pour elle comme pour moi. Cela m’a fait tout drôle, car maintenant à la fin de chacun de nos entrevues; elle rangeait mes escarpins, mon peignoir dans le petit placard où elle rangeait son manteau et son sac à main. Toutes les heures que je passais à lui faire du bien maintenant pratiquement quotidiennement m’étaient facturées en heures supplémentaires. J’étais devenu désormais la maîtresse de ma directrice, à côté de cela ma femme était admiratrice pour toutes les heures que je faisais en plus.
    
    À côté de cela ma directrice m’a dit qu’elle aimerait bien que j’arrête de me couper les cheveux, en même temps cela faisait longtemps (18 mois ) que je ne l’avais pas fait. Voilà comment rapidement j’ai pu me faire une queue de cheval, et si ma patronne qui poussait le vice jusqu’à m’acheter le shampoing le plus approprié pour que mes cheveux soient souples. Puis elle s’est mise à m’acheter des collants fendus, je lui ai dit que c’était gênant car cela ne se vendait pas en magasin; elle m’a dit que il y en avait dans un magasin juste à côté du nôtre. La première fois qu’elle m’a offert elle a voulu que je les essaye devant elle, je n’ai pas pu lui refuser ce privilège. Une fois paré de ce collant sexy je ne sais pas ce qui lui a pris, mais pour la première fois ...
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