1. Evolutions (24)


    Datte: 14/02/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Fantasmatique, Source: Xstory

    EVOLUTION
    
    Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
    
    Chapitre 24 : Rêve & fantasme.
    
    Lorsque nous sommes tombés dans les bras de Morphée, nous nous étions remis en cuillère, dans le but d’être enlacés. Pourtant, et sans que je m’en sois rendu compte, lorsque je me réveille le lendemain matin, mon petit bout de femme s’est séparé de moi. Elle est à nouveau allongée sur le dos, les jambes écartées, et en train de ronronner. Je la regarde dormir en souriant, épaté de la chance que j’ai d’avoir rencontré une femme aussi belle, et avec laquelle je me sens en parfaite communion.
    
    Lorsqu’elle ouvre les yeux, son corps n’a pas eu le moindre frémissement, ce qui démontre qu’elle trouve à présent la position qu’elle adopte pendant son sommeil tout à fait naturel, et qu’elle n’éprouve plus le besoin de cacher son intimité lorsqu’elle reprend conscience.
    
    Mais le plus merveilleux pour moi, c’est le magnifique sourire qui illumine son visage lorsqu’elle se tourne sur le côté pour me faire face, et qu’elle me voit, car il exprime sa joie de me retrouver, et ce constat fait de moi le plus heureux des hommes.
    
    J’approche ma main de sa joue pour la caresser, et je lui demande :
    
    — Tu as bien dormi, ma Chérie ?
    
    — Oui mon Amour, comme un bébé. Mais j’ai fait un rêve très étrange. Je lavais ta voiture, la rouge, sur une place de ...
    ... village entourée sur les trois de ses côtés par des maisons à plusieurs étages, et le quatrième donnait sur une superbe vue avec au fond une vallée. J’étais complètement à poils, mes cheveux attachés en queue-de-cheval, avec juste mes mules aux pieds et autour du cou un collier en cuir, comme en ont les chiennes. Je savais qu’il y avait dessus, même si je ne pouvais pas la voir parce que mon harnais était serré me laissant juste la place de respirer normalement, une plaque en métal sur laquelle était gravé mon prénom.
    
    Alors que je l’écoute religieusement, de peur qu’elle n’ose pas aller jusqu’au bout, mon petit bout de femme marque une légère pause, puis elle continue :
    
    — J’avais le ventre rond, parce que je devais être enceinte de plus de six mois, pourtant je n’en ressentais aucun désagrément, mais au contraire la joie profonde de celles qui vont bientôt être mères. Je portais mes mules à talons en bois, et ils résonnaient sur les dalles de pierre lorsque j’allais puiser avec un seau, lui aussi en bois, de l’eau dans un puits. Il se trouvait à une vingtaine de mètres dans un coin de l’esplanade, et sous un olivier probablement très vieux, mais lui aussi magnifique.
    
    ₪₪₪
    
    Je trouve le récit d’Alice, raconté avec sa voix grave et sensuelle, à la fois très beau et émouvant. J’en comprends parfaitement le sens, pourtant je la laisse terminer avant de lui dire ce que j’en pense :
    
    — Bien entendu, le puits était à l’ombre, mais l’auto en plein soleil, et je transpirais ...
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