Ma première fois en club libertin (1)
Datte: 22/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
... voulait en tirer les dernières gouttes...
Avant de quitter la pièce et la femme qui l’avait sucé, Vincent se tourna vers moi en me faisant signe du pouce levé ! Une manière de me faire savoir qu’il avait apprécié et de me dire MERCI !
Pendant que le second mec baisait, Marie, une blonde longiligne, presque sans poitrine, est venue se placer au-dessus du visage de ma femme qui, immédiatement, a compris le message : elle a relevé sa tête pour venir lécher l’entrecuisse de la blonde et l’a fait jouir rapidement...
De part et d’autre du sofa, il y avait deux mecs d’un peu plus de 20 ans... Ils se masturbaient et bientôt, les seins ont été nappés de leur sperme blanchâtre. A croire que se masturber au-dessus d’une jeune quinquagénaire les inspirait !
Tandis que le second homme pilonnait Marie, sa compagne, placée à son côté, l’encourageait, lui tenant son sexe pour accompagner chaque pénétration. De temps en temps, elle le sortait de l’étui trempé de Marie pour le sucer avant de le replonger au plus profond de ma femme. Marie secouait la tête dans tous les sens. Elle perdait pied. Elle gémissait pour mon plus grand plaisir.
Je vins près d’elle pour l’embrasser et lui dire que j’étais fière d’elle. J’en profitais pour laper le sperme giclé par les deux jeunes hommes sur sa poitrine et pour revenir à sa bouche afin de lui offrir cette semence. Marie, surprise, avala mon présent dans un baiser passionné et se cambra aussitôt dans une nouvelle jouissance.
Les jambes ...
... et le pubis contractés de Marie enclenchèrent aussitôt le plaisir de son amant. Sa compagne sortit rapidement son sexe de celui de ma femme pour arracher le préservatif et profiter de la crème qui continuait à gicler.
Des participants satisfaits sortirent de la pièce tandis que d’autres arrivèrent.
Je ne pouvais que regretter ne pas avoir de caméra cachée pour immortaliser ces moments de pur plaisir.
Marie
Je me sentais offerte, ouverte et pleine de désir. Je n’étais qu’un sexe à la sensibilité exacerbée à fleur de peau.
J’essayais de faire pour le mieux avec les deux pieux qui semblaient s’affronter devant mon visage. Je tentais de les lécher, de les mordiller, de les avaler malgré des dimensions hors norme. Je devais me montrer à la hauteur face à un public qui observait mes moindres gestes. Et cette femme qui me suçait, m’aspirait le clito et qui me faisait perdre pied avec ses coups de langue. Je me sentais en apesanteur. Je flottais dans un univers de plaisir et de jouissance absolue. Dire qu’il avait fallu attendre ma cinquantaine pour atteindre ce nirvana indicible. Que de temps perdu !
C’est la femme qui m’arracha de nouveaux cris de jouissance. Une jouissance qui venait de loin, profonde. Un tsunami m’envahit. Une jouissance interminable avec des vagues successives de plaisir.
Je n’eus pas le temps de reprendre mes esprits que Vincent était déjà à la porte de mon vagin inondé de cyprine. Il appuya son gland démesuré sur l’entrée de ma grotte, et ...