1. Ma première fois en club libertin (1)


    Datte: 22/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    ... les fesses.
    
    Après avoir trinqué au champagne, je m’éclipsais pour aller au petit coin, me faire une toilette rapide et enfiler un peignoir en dentelles qui ne cachait pas grand-chose. Je me devais d’être à la hauteur de mes deux amants.
    
    Je m’assis entre les deux mâles qui avaient décidé de me nourrir. Chacun alternant tomate cerise, toast, carotte, gressin, fromage, framboise, grain de raisin, avec chaque fois un baiser. Ces baisers dérapaient au fur et à mesure de mes béquées. Mon corps était rapidement couvert de baisers de plus en plus coquins et impudiques. Mon peignoir était largement ouvert et mes deux coquins semblaient se disputer chaque centimètre carré de ma peau.
    
    Je m’entendais gémir, ronronner, comme une chatte en chaleur que j’étais.
    
    De concert, mes amants se dévêtirent et je pus prendre leur sexe dans mes mains. Ils étaient bien durs.
    
    Vincent et Paul se disputaient ma bouche. Leurs langues coquines et pénétrantes, leurs caresses incessantes me faisaient chavirer.
    
    Afin de faire retomber la tension, je leur demandais un service. Je souhaitais qu’ils me fassent un massage à quatre mains, qu’ils huilent mon corps et mes orifices maltraités, il y a encore peu de temps.
    
    Paul alla chercher une serviette et de l’huile d’amande douce préalablement chauffée au micro-ondes.
    
    Je me mis sur le ventre et me laissais aller sous les caresses de mes amants. Des caresses qui se firent de plus en plus précises. Des doigts me fouillaient la vulve, d’autres, ...
    ... mon anus. Mes fesses étaient massées, plus que de besoin... J’étais aux anges.
    
    Le champagne, associé aux caresses, m’engourdissait le corps. Chaque passage, près de ma vulve, de mon clitoris ou de mon anus, générait des ondes de plaisir. Je laissais celui-ci monter et j’empêchais la jouissance de prendre le dessus, car je voulais retarder au maximum l’arrivée du plaisir ultime qui allait m’emporter. Je ne savais pas à qui étaient les mains qui investiguaient mon corps. Vincent ? Paul ? Qu’importe...
    
    Le geste de trop fut le moment où des doigts me pénétrèrent simultanément dans le vagin et l’anus. Je me contractais, m’arc-boutais dans une jouissance profonde. Une vague, un tsunami de plaisir m’emporta loin très loin. Les caresses s’arrêtèrent pour me laisser le temps de récupérer.
    
    Vincent, allongé sur le dos, m’attira sur lui. Son sexe me pénétra tout naturellement. Son pal épais me remplit totalement. Sa bouche vint heurter la mienne et un baiser passionné nous unit. Je me mis à onduler les hanches pour caresser la queue de mon amant avec mes muqueuses. J’étais trempée, mais j’eus besoin de plusieurs mouvements de mon bassin pour trouver la bonne synchronisation avec Vincent.
    
    Paul nous observait. Ses mains me caressaient les fesses. Je sentis Vincent se raidir quand je sentis Paul caresser les couilles de Vincent. C’est la première fois que je voyais mon mari toucher un homme. Je souris. Vincent se relâcha. Il semblait apprécier les caresses de Paul qui allaient de ...