La Révélation de Sophie (11)
Datte: 12/02/2021,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: blueyes, Source: Xstory
Tuons tout faux suspens. Elle se fit sodomiser par l’ange-bête jusqu’aux couilles. Mais avant, mise en condition optimale, elle eut droit à un orgasme faramineux par le con. Elle adopta la position requise, prosternée, son splendide cul dressé, ses deux orifices soumis au bon vouloir de l’ange-bête. L’embarras du choix pour l’animal. Mais par sa pose, le dos presque à la verticale, Sophie semblait tendre plus particulièrement son vagin à la saillie. La cambrure prononcée insistait sur l’offrande des grandes lèvres baillantes d’impatience. La jeune fille marquait ainsi une indéniable prédilection pour cette forme de pénétration. Oui, il était plus qu’évident qu’avant de se faire à nouveau enculer, elle espérait en guise de motivation supplémentaire quelques bons coups de queues dans la chatte. Et elle ne fut pas déçue. Dans un grognement, l’animal s’enfila d’un coup sec dans le vagin qui, malgré la taille de l’engin, l’avala goulument. Véritable récompense par anticipation, la bête accorda ainsi à la belle une magnifique séance de tringlage public.
Qu’est-ce qu’il lui mit !
Phil était maintenant persuadé que c’était l’excitation qui régissait la transformation de l’ange en bête. Et la mutation rendait la saillie encore plus sauvage. Hormis le visage toujours aussi raphaélique la métamorphose était arrivée à son terme. L’espèce de minotaure était clairement affublé d’un corps de taureau et de pattes de singe avec lesquelles il tenait fermement la femelle par les hanches ...
... et dans cette position idéale, son attribut stupéfiant labourait sans vergogne la matrice ; les couilles du buffle s’écrasaient en claquant sourdement contre les lèvres du con. Rien moins qu’un phénoménal et intégral bourrage de salope.
La jouissance de Sophie fut au diapason. Le traitement lui arrachait des beuglements. Elle vibrait sous les coups de boutoir. Sa poitrine, tels deux jolis melons pris au cœur d’une tempête, ballotaient à chaque assaut. Les spasmes étiraient les traits de sa face si lisse et si pure, mais la déformation était surtout intérieure et extrême ; un raz-de-marée qui emportait tout sur son passage, un débordement inimaginable, indescriptible… Alors que la bête pistonnait toujours, la jouissance, impossible à contenir, jaillit tel un geyser, du vagin… La pine s’extirpa précipitamment, déboucha du fourreau… qui gicla de plus belle… mais, sans transition, déjà la bête profitait de l’entière disponibilité sexuelle pour s’attaquer à l’autre orifice qui, d’une poussée vigoureuse, céda. L’œillet ayant déjà été défloré, la pénétration fut moins laborieuse. La bite connaissait le chemin. Le pilonnage en règle de ce délicat petit cul ne fut quand même pas une promenade de santé.
Effet saisissant de la perforation, entérinant un impossible retour à l’état de virginité originelle, la poussée implacable de l’engin suscitait l’impression de provoquer le délicieux sillon séparant les globes charnus ; la rainure innée devenait une faille sismique causée par un ...