1. Retour de brousse 3 - Sous la table


    Datte: 11/02/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Scrup89, Source: Hds

    ... Et je sens que, pour lui, ça va venir. Ouiiii ! Ça vient sans prévenir, et il y en a. Je me prends une sacrée dose de foutre que je dois avaler jusqu’à la dernière goutte. Un dernier regard sur la mini-bite de la Sultane, elle est violacée à présent, il a dû la serrer un peu fort ou la pincer pendant le brame (c’est le mot qui convient, on aurait dit un cerf) et elle a sans doute un peu mal.
    
    Juste le temps de remettre en place son matériel dans le caleçon. Jean ne me laisse qu’un bref répit. Deux doigts ! C’est le tour de Bénédicte.
    
    Sa grande robe blanche descend presque jusqu’aux pieds. Elle cache tout… enfin, presque tout. Et elle va me montrer tout, absolument tout, je le veux, j’y arriverai. Le ouistiti y arrivait bien, lui.
    
    D’abord, les chaussures blanches à talon haut, je les touche tout doucement ; je ne vais pas les lui enlever. Trop sexy. Alors, je me hasarde au bas des jambes. Surprise, il y a des bas très fins … curieux, par cette température, mais c’est très joli. La cochonne se laisse faire. A vrai dire cela ne me surprend guère, d’autant que, au-dessus de moi, juste sous la nappe, j’aperçois la main de Jean qui écarte les pans de la robe et se glisse vers l’entrejambe. J’espère qu’il ne va pas me gâcher le travail. S’il savait comment je bande !!!
    
    A mon tour, j’écarte la grande robe blanche ; c’est lumineux, ça change de la Sultane. Mes mains remontent doucement, glissent sur la soie des bas … Que vais-je trouver ? Si ce sont bien des bas, ...
    ... j’arriverai à mon but. Mais si c’est un collant, l’affaire n’est pas gagnée, il faudra qu’elle y mette du sien, la salope !
    
    Je sens qu’elle aime ça, la garce, voilà que j’en suis aux genoux ; j’écarte les pans de la robe, pour mieux voir. Oui, ça y est, j’aperçois. Ma main remonte le haut des cuisses, elle tremble de désir la Mignonne. Ah, j’arrive, je m’approche, ce n’est pas un collant. De simples bas retenus par un joli porte-jarretelle. Ma main s’attarde sur une cuisse chaude, entre le bas et le reste ; elle tremble de plus en plus. Elle prend ma deuxième main et, résolument, la pose sur sa motte, la cochonne ! J’y vais, je masse, je tourne, je sens la mouille à travers le tissu.
    
    Par chance elle a enfilé la culotte par-dessus son porte jarretelle, je la fais glisser aux genoux. Surprise, la chose est lisse et doux comme un abricot ; j’y vais, avec les doigts, avec la langue, et même les dents sur ses lèvres dentelées. Il faut veiller à ne pas mordre, et faire venir la jouissance tout doucement. Je sens qu’elle freine, oui, oui, ça va venir … Viens, Bénédicte lâche-toi, et surtout n’en laisse rien paraître à la table, c’est la règle du jeu.
    
    La petite culotte est à présent aux chevilles, blanche, transparente, vraiment mimi … et mini.
    
    Côté abricot, je sens que le feu d’artifice approche. Oui, oui, oui, un dernier soubresaut … Elle est ailleurs, et nulle part.
    
    Instant rêvé, je m’empare du sous-vêtement et le glisse avec mes kleenex. Le moment est venu de tout ranger, la ...
«1...3456»