Doctorante (1)
Datte: 11/02/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: bbrue, Source: Xstory
Cette histoire est pure fiction.
Je m’appelle Astrid. J’ai 26 ans, je fais 1m76 pour 61 kilos et 90D. Cela fait bientôt deux ans que je prépare une thèse en droit. Je ne suis pas du tout le genre de fille première de la classe, mais plutôt celle qui ne sait pas ce qu’elle veut faire de sa vie et qui profite d’un contrat de doctorant pour rester un peu plus longtemps à la fac. Ma fac étant jumelée avec plusieurs universités à l’étranger, j’ai pu être amenée à me déplacer dans ces pays pour enseigner et faire des recherches pour mes travaux. En général, j’en profitais pour me taper mes étudiants voire certains professeurs quand l’occasion se présentait. Ça n’était pas de l’arrivisme. J’aime simplement le sexe alors je le cherche où je peux. Croyez-moi, il n’y a rien de meilleur que de sentir les coups de bite vigoureux d’un jeune étudiant de licence.
L’avantage des profs, c’est l’expérience. À force de baiser leurs étudiantes pour leur donner de meilleures notes (non ça n’est pas une légende), ils finissent par apprendre des tonnes de choses à commencer par: comment faire jouir une femme.
Bref, mon dernier voyage m’avait conduite au Congo. Détail d’importance: j’étais accompagnée par mon directeur de thèse. C’est un beau mec: black, bien foutu, musclé comme il faut. Mais ça n’est pas un coup potentiel. Nous avons une relation qui oscille entre purement professionnelle et un brin protecteur envers moi. Sa présence pendant ce voyage avait passablement compliqué mes ...
... projets: je n’avais pas baisé depuis trois semaines ! Heureusement, nous étions à l’aéroport attendant notre vol pour Paris. Là-bas, je savais que je pourrais appeler plusieurs plans culs pour qu’ils viennent me satisfaire, tour à tour voir à plusieurs d’un coup. Vous l’avez compris, j’aime me faire enculer ! Face à une telle perspective, le temps me semblait vraiment très long.
Après avoir enregistré nos bagages, nous étions en train de patienter dans le salon d’embarquement. Je remarquais plusieurs passagers que j’aurai volontiers laissé me baiser dans les toilettes. Mais ça me semblait trop dur à réaliser puisque j’étais assise à côté de mon directeur de thèse. Quoique...
Enfin ! Nous voilà assis dans l’avion. Bientôt, nous roulons sur le tarmac avant de décoller direction la France, pays du sexe et de la libération à mes yeux. Mais... peut-être que la libération allait arriver un peu plus tôt finalement.
Dans l’avion, j’étais assise à côté d’un mec, plutôt pas mal. Je n’avais pas pu m’empêcher de remarquer le paquet qu’il avait à l’entrejambe. J’en salivais. Après quelques heures de vol et alors que mon directeur de thèse dormait, j’engageais la conversation avec mon voisin. Nous parlions de tout et de rien jusqu’à aborder ma situation amoureuse:
— Tu vas retrouver ton copain à Paris ?
— En fait, je ne suis pas très traditionnelle...
— Tu veux dire que tu es lesbienne ?
— Mais non ! Je veux dire que le sexe m’intéresse, mais pas le couple.
— Tu aimes le ...