1. La Bretagne, en septembre, est-elle triste ?


    Datte: 11/02/2021, Catégories: fh, fplusag, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, amourcach, Auteur: Poterne, Source: Revebebe

    ... Capucine courir devant nous dans les fougères tandis que Marie marche à mes côtés. De temps en temps, elle se retourne vers moi pour me regarder ou rire à mes plaisanteries. Un sentiment de plénitude se propage en moi. Est-ce normal de jouer à la petite famille idéale ? Ce n’est pas la mienne.
    
    — Tu dois croire que je suis une femme facile! Coucher avec un garçon plus jeune que moi alors que mon mari est en mission.
    — Je crois rien, Marie. J’en envie d’être avec toi c’est tout.
    — Il faut me comprendre, il part pour plusieurs mois et me laisse toute seule ! Quel âge tu me donnes ?
    — Je sais pas, trente ans !
    — Comme tu es gentil, j’en ai trente-cinq.
    — Treize ans d’écart, ce n’est pas beaucoup !
    — Ça dépend. Tu sais, c’est la première fois que ça m’arrive. Avec toi, c’est différent, je me sens bien. Ce soir si tu veux, tu me rejoins plus tard, vers 22 h, Capucine dormira déjà, il ne faut pas qu’elle te voie tous les jours !
    — J’ai hâte de pouvoir t’embrasser et de te toucher partout.
    — Espèce de gros cochon ! Regarde, on va s’installer sur ces rochers pour le pique-nique, la vue est magnifique.
    — Dis donc tu la connais bien, Laure, la serveuse de la crêperie du centre ?
    — Oui, on se connaît depuis qu’on est enfant. C’est un peu ma petite voisine !
    — Une belle rousse qui est amoureuse de toi !
    
    Je la regarde incrédule.
    
    — Mais non ! Arrête tes bêtises, Laure n’est pas amoureuse de moi !
    — Hier on est allés manger des crêpes avec Capucine, au dessert elle nous ...
    ... a offert du cidre et est venue discuter avec moi. Elle n’a fait que parler de toi.
    — Ah bon !
    — Elle sait, pour nous deux ! Crois-moi, nous les femmes, on comprend ces choses-là !
    
    ***
    
    La nuit suivante je me réveille en pleine nuit et ne trouve plus le sommeil. Je suis chez elle, dans la maison sur la plage, je regarde autour de moi ; les peintures maritimes, les meubles en bois clair, une maquette de voilier et le violoncelle appuyé sur une chaise. Nous dormons dans la chambre où elle a l’habitude de jouer de la musique, elle n’a pas voulu m’emmener dans la sienne, elle doit avoir l’impression de moins trahir son mari ! Un feu s’achève dans l’âtre de la petite cheminée, il fait très chaud dans la pièce. Par contre dehors c’est le chaos, une tempête d’automne a chassé les hautes pressions. De grosses gouttes de pluie s’écrasent en rafales contre les volets qui tremblent sous l’assaut des bourrasques de vent. Une légère lumière venant du foyer éclaire doucement Marie qui dort sur le côté, elle a gardé seulement son ton top en soie mauve, je soulève doucement les draps pour admirer ses fesses. Avec ma main, je suis délicatement les courbes de son corps sans la toucher, mais elle a dû sentir quelque chose, car elle se réveille et se retourne vers moi.
    
    — Tu me regardes toute nue sans ma permission ?
    — C’était vraiment tentant ! lui dis-je en lui caressant les fesses.
    — Tu veux encore faire l’amour ?
    — Tu pourrais jouer du violoncelle ?
    — Maintenant ?
    
    Je lui fais ...