1. Satisfactions


    Datte: 10/02/2021, Catégories: ff, jeunes, grosseins, sauna, jalousie, intermast, Oral 69, Humour Lesbienne Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... grommela Audrey.
    
    Je sortis rapidement du bar en zigzaguant entre les tables et courus dans les couloirs pour la rattraper. Je la trouvai en haut de l’escalier qui menait au deuxième étage. Elle se retourna en entendant mes pas :
    
    — Ah, c’est toi ? me fit-elle avec un sourire.
    — Quelque chose ne va pas, Estelle ? lui demandai-je sincèrement en parvenant à sa hauteur.
    — Non, non, tout va bien, ne t’inquiète pas, me répondit-elle en reprenant sa marche. C’est juste que je suis un peu…
    
    Elle s’interrompit un court instant et me regarda fébrilement :
    
    — … un peu fatiguée.
    — C’est juste ça ? Je veux dire… tu es sûre qu’il n’y a rien d’autre ?
    — Non, vraiment, ça va, me sourit-elle.
    — Est-ce que… est-ce que c’est de ma faute ?
    
    Nous parvînmes devant la loge marquée du numéro 74, le sien. Tremblotante, elle tapota son code sans me répondre. Mais la porte ne s’ouvrit pas. Elle recommença en soupirant bruyamment et, cette fois-ci, put ouvrir sa porte.
    
    — Tu veux boire un coup avec moi ? proposa-t-elle.
    
    J’hésitai. Elle avait l’air d’avoir déjà pas mal picolé ; et les autres allaient m’attendre ; et puis je n’avais pas très envie de jouer les psys. Mais bon… Je pénétrai à sa suite dans la petite loge. Elle referma la porte derrière moi.
    
    Et elle se transforma brusquement ! Elle entra dans une rage folle et me sauta immédiatement dessus, me saisissant par les épaules :
    
    — Je suis verte ! Tu m’entends ? Je suis dégoûtée ! J’aurais dû gagner !
    
    Elle me poussa ...
    ... brutalement contre un mur et fit mine de vouloir me taper dessus de ses poings fermés. Je saisis ses poignets, l’arrêtant. Elle me regarda un instant avec des yeux fous et plaqua soudain ses lèvres sur les miennes, cherchant ma langue avec la sienne.
    
    — J’ai envie de toi ! me susurra-t-elle en se reculant quelque peu.
    
    J’écarquillai les yeux.
    
    — Fais-moi l’amour ! Baise-moi ! Fais-moi jouir !
    
    Son haleine était chargée d’alcool. Je haussai les sourcils en soupirant et en regardant navrement la pendule. Elle m’embrassa de nouveau en maintenant mes mains écartées plaquées contre l’armoire. Je me laissai faire un instant, puis me retournai avec vigueur, la plaquant à mon tour contre le mur et lui retenant les bras ouverts. Si elle voulait jouer, ce serait moi qui dirigerais… Et je l’embrassai à nouveau, pressant mon corps contre le sien, comprimant ses seins lourds sous les miens et frottant une cuisse sur son entrejambe.
    
    Elle baissa ses paupières ; je lâchai ses poignets pour refermer mes mains sur nos poitrines toujours collées, et, l’embrassant toujours, la pelotai doucement. Elle fit glisser sur ses épaules les bretelles de sa robe, que je tirai ensuite vers le bas, entraînant aussi son soutien-gorge à balconnets, qu’elle laissa filer autour de ses bras. Puis elle colla ses mains sur mes tempes et m’attira doucement vers ses seins libérés. Je léchai, embrassai, suçotai et tétai presque son énorme poitrine un instant, la pressant toujours entre mes doigts.
    
    Puis ...