Sexe et canicule
Datte: 10/02/2021,
Catégories:
Hardcore,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... cabane abandonnée pour finir, sur une petite table en bois qui avait tenu le coup.
Déjà dix ans…
Et je me rendis compte que ce souvenir me faisait toujours autant bander. Alors j’ai regardé autour de moi, puis j’ai défait mon pantalon pour sortir ma queue et me branler. J’étais allongé sur l’herbe, à l’ombre d’un sapin, torse nu. Ma queue était dure et je revoyais Sylvia se foutre à poil tout près de moi. A cet endroit précis, à ma gauche. Je revoyais ses seins pointus et son joli cul. La discrète marque claire d’un maillot sur ses fesses.
Mais je n’ai pas éjaculé. J’avais l’après-midi devant moi et je me suis dit que j’aurais sûrement envie de recommencer plus tard, en pensant à Sylvie ou à quelqu’un d’autre. J’ai reboutonné mon pantalon, remis mes pieds dans l’eau et ouvert une première bière.
Puis une deuxième.
Ensuite, l’envie m’a repris de me branler. Il n’y avait pas un bruit dans les environs, alors cette fois-ci j’ai viré tout ce que je portais sur moi. Je me suis mis debout et j’ai saisi ma queue qui était de nouveau raide.
Avec Sylvia, nous nous étions revus d’autres fois, mais pas ici. Chez elle, chez moi, ou dans ma voiture, dans des chemins de campagne. Et je ne sais pas ce que j’aurais donné pour remonter le temps et revoir cette jeune nana se foutre à poil, nager, puis revenir vers moi, écarter ses jambes et caresser sa chatte mouillée au-dessus de mon visage.
Une goutte de sperme a jailli de mon gland et j’ai dû penser à autre chose pour ...
... éviter d’éjaculer. Je voulais reporter le moment, car j’étais bien décidé à rester au bord de ce petit étang une ou deux heures de plus. J’avais d’autres bières dans ma besace, et je savais que plus longtemps je me branlerais, plus violente serait la décharge de sperme au final.
Alors j’ai remis mon caleçon, puis j’ai ouvert une troisième bière.
Et j’ai entendu des bruits de pas derrière moi.
La fille avait des hanches assez larges et ses cheveux blonds tiraient sur le roux, c’est ce que je remarquai en premier. Des cheveux bouclés ramenés en chignon et un petit short en jean. Un t-shirt kaki délavé et le visage orné de tâches de rousseurs. Un visage assez allongé et des yeux clairs.
Elle s’arrêta en me voyant assis sur la berge, en caleçon, tourné vers elle, puis elle me dit :
« Oh, bonjour. »
Je lui répondis et elle s’avança vers moi. Elle portait un sac en toile à l’épaule et des tennis blancs. Elle était plus âgée que Sylvia. J’aurais dit vingt-huit ans. Son short avait dû être un pantalon qu’elle s’était résolue à couper grossièrement aux ciseaux. Les bords étaient effilochés et le jean moulait ses hanches assez fortes. La peau de ses jambes était dorée, ainsi que celle de la naissance de ses seins dans l’échancrure de son t-shirt.
« Désolé de vous déranger, dit-elle. Je viens ici de temps en temps, mais peut-être que l’étang vous appartient ? »
« Pas du tout, répondis-je. Il n’y a pas de soucis. »
Elle hocha la tête et dit :
« Je m’appelle ...