Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie (3)
Datte: 10/02/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: Mir, Source: Xstory
... d’un coup sa queue dans ma bouche, que je n’avais pas eu le temps d’ouvrir.
— Putain fais pas chier, prends-la et c’est tout.
J’entrouvris mes lèvres, il pénétra d’un coup sec, m’étouffant, et commença à s’activer sans ménagement. Visiblement les préliminaires n’étaient pas son truc, y compris pour lui-même : il me baisait activement la bouche, ses mains forçant ma tête dans un mouvement ample et rapide me blessant les lèvres. Je suffoquais et avais des haut-le-cœur à chaque fois qu’il me la mettait au fond. Le bruit de ma salive et de mes lèvres couvrait presque ses paroles.
— Aaaaah, enfin, c’est boooon... Putain je comprends, t’es vraiment bonne... Il doit t’en demander souvent, des pipes, Rémi, si tu suces comme ça... Prends-la bien, t’es une vraie bonne suceuse toi...
Il appuya son bassin contre mon visage de manière à me renverser en arrière, jusqu’à ce que je sois sur le dos. J’étouffais sous son poids et la longueur de sa queue. Cela dura encore quelques minutes, puis il gicla dans ma bouche, en criant et en me traitant de pute, de vide-couilles bonne à avaler. J’essayai de ne pas avaler, justement, mais il resta dans ma bouche et par réflexe je finis par déglutir. Ce qu’il semblait attendre : il se retira tout de suite après.
Il se releva et me mit debout.
— Bien, à ton tour maintenant. Petit remake de la première soirée, désormais... Fous-toi à poil, garde juste ton débardeur. Voilà, bien. Reste debout, jambes écartées, face à moi.
Je remarquai ...
... alors qu’il avait pris cette foutue lampe-torche. Il me la tendit.
— Je ne sais pas qui a fait quoi ce soir-là, je pars du principe que chacun a fait sa petite affaire, c’est moins dégueulasse pour vos conjoints respectifs... (clin d’œil). Alors tu te la fourres dans la chatte jusqu’à ce que tu jouisses.
Je restai interdite, les jambes écartées, la lampe à la main, éclairée par sa frontale.
— Tu peux toucher tes seins en même temps, si tu veux... allez allez, on y va, dépêche-toi, ta lampe, bien profond ! Comme si c’était une bite bien dure !
Toujours debout, je commençai alors à m’insérer la lampe. Elle entrait difficilement. Je finis par me l’insérer en entier. Ca n’allait pas marcher comme ça... Il fallait que je sois lubrifiée... Je me mis alors à toucher mes seins de ma main libre, comme Rémi le faisait la veille, en imaginant ses mains sur moi. Au bout de deux minutes, la lampe commença à glisser : mon corps répondait... Je me masturbai alors, dans cette position insolite. La lampe m’excitait, je repensais à ce que nous avions fait avec Rémi quand nous étions à moitié bourrés... je laissai échapper un gémissement malgré moi.
— Oh c’est bon ça, tu prends ton pied, hein, petit cochonne, ça te plaît, un engin dans ta petite chatte...
Malgré l’obscurité, je voyais Thomas : ce connard avait allumé le téléphone et me filmait d’une main, de l’autre il se masturbait. Il posa son téléphone sur le rocher, contre l’arbre et le cala, pour ensuite s’approcher.
— ...