1. VOYAGE DE FIN D'ETUDES 2


    Datte: 10/02/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... avons passé deux ans à l’internat avec Babeth et Clara. Suffisamment pour nous découvrir. »
    
    « Donc elles sont bi, toutes les deux » demandai-je
    
    « Non, Clara est exclusivement hétéro, et Babeth est presque exclusivement lesbienne. »
    
    « presque ? »
    
    « Oui ça lui arrive de temps en temps de se laisser aller dans certaines circonstances. »
    
    « Et Fred, et Nelly ? »
    
    « Ah, ces deux là, ils sont hétéros. »
    
    « Oui, ça je m’en doutes, mais ils sont où ? »
    
    « Ils étaient moins émméchés que vous, et ils ont rejoint la chambre de Fred. Heureusement, d’ailleurs, parce qu’ici, c’etait un peu complet. »
    
    « On a pas ? » demandai-je , sentant un début d’érection se développer
    
    « Non, rien du tout »me confirma t’elle « mais, il serait peut-être temps de s’y mettre « dit elle en se serrant contre moi.
    
    Je me laissais tomber sur le dos et elle vint m’enjamber, saisissant mon mat, au passage, pour mieux s’embrocher dessus ;
    
    « Ah, quand même ! Je n’ai pas gaché ma soirée pour rien » dit elle en montant et descendant le long de ma verge qui , je le sentais, grossissait en elle..
    
    J’empoignais ses seins, et entrepris de les agacer, jusqu’à ce que ses tétons ne soient que deux excroissances de chair, dures comme la pierre, et continuais ainsi, sans les lâcher, alors qu’elle coulissait de plus en plus vite sur ma queue . Repliant ses jambes, elle s’installa à croupetons et lança un mouvement d’ascenseur sur ma queue, sortant et rentrant à chaque passage, avant de revenir ...
    ... s’empaler, son sexe venant taper, à la rencontre du mien, dans un mouvement puissant et régulier, qui nous amena tous deux à un orgasme brûlant.
    
    Toujours emboités, nous basculâmes sur le côté, en nous embrassant, et elle attrappa le drap pour nous recouvrir chastement. Nous étions dans nos caresses, post coitales, quand la porte de la salle de bains s’ouvrit, et Liam en sorti, vétu d’un caleçon, le cheveu humide. Il ramassa un paquet de cigarettes et un briquet sur une table, et se faufilant entre les rideaux, sortit sur la terrasse.
    
    « Il a l’air sacrément costaud » me dit Valérie tout bas. « Quand on vous a ramené ici, il était dans un état, encore pire que toi. C’est pour ça qu’on vous a gardé. On avait peur qu’il nous fasse un coma éthylique. On l’a deshabillé et on l’a mis sous la douche, pus on l’a sorti avant de t’y coller. Il a vomi plusieurs fois, mais ne reprenait pas conscience. TOI, tu es sorti tout seul de la douche et tu t’es vautré sur mon lit. Alors on s’est relayées pour rester contre vous, et sentir si vous respiriez bien. Tu t’es contenté de dormir. «
    
    « pas vomi ? »
    
    « Non tu as été plutôt propre » dit elle avec un peu d’ironie dans la voix « évidemment, tu t’accrochais à tout ce que tu pouvais palper quand nous étions près de toi, et tu disais des mots incompréhensibles, mais dans l’ensemble, nous avons pu te gérer. »
    
    « Et Liam non ? »
    
    « tu plaisantes, après avoir vomi dans tous les seaux que nous avons trouvé, il a eu un sommeil agité. Il a ...
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