COLLECTION FANTASME. Jeu de con (1/3)
Datte: 03/05/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... dis bien dans ma poche car je suis garée devant chez nous.
Elle vient à moi et me donne l’argent avant de partir avec l’homme que je lui aie choisi à divers endroits qu’elle a repéré pour éviter d’éveiller les soupçons sur la réalisation de son fantasme.
Chaque fois que le client revient vers moi ma femme satisfaite, je le raccompagne à son point de départ.
Chaque fois et les choses s’accélèrent souvent le samedi et le dimanche, j’adore la prendre comme une bête quand je reviens à la maison.
J’écris mon histoire depuis la prison de la santé, un jour, je venais de prendre l’argent en main bandant d’avance à savoir ce qu’elle allait faire.
- Monsieur, veuillez nous suivre, police des mœurs.
Nous avons été emmenés dans des locaux de polices, mon affaire a été confiée à un juge d’instruction.
Il m’accuse de proxénétisme aggravé sur la personne de ma femme.
- Monsieur le juge, c’était un jeu, je réalisais son fantasme, d’ailleurs nous ne prenions que 200 chaque fois que je réalisais ses envies.
- 200 €, pourtant l’inspecteur qui vous a arrêté m’ont dit que c’était 300 € qui sont dans ce sac devant nous.
Qu’avez-vous à dire !
- Quelquefois quand un client.
- Vous voyez vous employer le même mot de « client ».
- Monsieur le président, mon client emploie ce mot, mais dans son esprit il voulait dire réalisateur de fantasme de madame Radia sa femme qui le soutient.
D’ailleurs, je viens moi-même d’employer le mot de client, peut-on dire que je ...
... me prostitue quand je défends mes clients.
La salle éclate de rire, un mari qui a un travail c’est loin d’être banal, les journaux en ont fait de pleines pages.
Mon avocat m’a été commis d’office, je récusais les abnégations de la police, jugeant qu’il était inutile de me défendre, j’avais simplement joué avec ma femme pour réaliser ses fantasmes.
- Qu’avez-vous donc à dire pour ces 300 € ?
- Elle demandait ce tarif quand le client, pardon, l’homme voulait l’enculer.
- La sodomiser, Monsieur, une femme on la sodomise, l’enculer c’est grossier.
Pardon je m’égare, continuons.
Donc votre femme prenait plus cher pour se faire sodomiser !
- Oui monsieur le président je reconnais aujourd’hui avec le recul que c’était un jeu de con.
- Là vous avez raison, si vos dires sont exacts vous avez joué un jeu de con, mais vous verrez ça à la fin de votre procès.
- Monsieur l’avocat général, continuez.
- J’appelle à la barre madame Nouzha, jeune femme divorcée quand son mari a appris à quoi servait l’argent qu’il gagnait.
La totale, Nouzha, la jeune femme avec laquelle ma femme s’était gouinée est devant moi.
- Monsieur le président, cet homme est un monstre, il est vrai que j’ai eu des rapports sexuels avec mon amie Radia.
Un jour elle m’a fait venir chez elle.
J’étais déjà venue en présence du mari avec qui j’avais passé un moment avec sa femme et lui bien sûr, il avait imposé à sa femme sa présence.
Ce jour-là et bien d’autres depuis, Radia ...