EXHIBITION SUR UNE TABLE EN VERRE...
Datte: 10/02/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... S’approchant peu à peu du bord de la table. Je me déplaçais, et plaçais ma bouche grande ouverte à l’aplomb de la chute. Tout en massant son clito elle me regardait boire son pipi. Je sortais ma queue de sa prison de toile, et me mis à la branler. La jouissance arriva après seulement quelques va-et-vient. Tant était mon excitation. Souillant le carrelage de mon sperme.
Mous comme de la guimauve, et ankylosé, j’étais sorti de dessous la table. Avec le goût salé et âcre dans la bouche. Mes espérances les plus folles étaient comblées. Avec un kleenex je me suis essuyé ma queue avant de la remettre à la place sous l‘étoffe de mon pantalon.
- Alors ? Vous n’allez pas me baiser.
- J’ai dis une heure.
- Et alors, il reste un bon quart d’heure !
Je la sentis déçus en disant cela. Je ramassais la culotte. Dont une tâche sombre maculait son fond.
- Je peux la prendre ?
- C’est avec plaisir que je vous la donne.
Alors que je prenais la route de chez moi, tout en conduisant je plaquais ma bouche sur le tissu. Il était humide de ses sécrétions. Un délicat mélange composé des ses fluides sexuelles et de son urine. De quoi me faire tourner la tête.
Quelques heures plus tard, dans le salon, le pantalon et le slip aux chevilles, j’étais devant ma femme à quatre pattes sur le divan. Les cuisses grandes ouvertes. Entre les monts voluptueux de son cul blanc et rond, sa chatte aux lèvres rougies, béantes, était une invitation qu’il ne pouvait refuser. Je ...
... positionnais ma verge à l’orée de sa cicatrice et frottais l’extrémité de mon gland d’abord contre sa toison, puis entre ses grandes lèvres, de haut en bas. Elle souleva son bassin vers moi et je sentis sa liqueur d’amour s’échapper depuis sa fente. Je la pénétrais, d’abord avec son gland, puis d’un violent mouvement du bassin, je fis disparaître toute la longueur de mon membre dans la fente chaude et ruisselante.
Elle cria de satisfaction et tentant de m’avaler plus profondément en elle. Sa chatte enserrait fermement ma bite pendant que j’entamais de lents mouvements de reins, qu’elle accompagna de ses hanches. Chaque va-et-vient arrachait un gémissement des lèvres de ma femme. Quand j’accélérais le rythme, ceux-ci gagnèrent en volume et se transformèrent en hurlements de joie et de plaisir, la laissant terrassée par l’orgasme.
Je me retirais pour investir son anus comme à son habitude très accueillant. J’étais complètement déchaîné. Je fermais les yeux et me remémorais l’exhibition de Viviane sur la table translucide. Alors que mes narines retrouvaient l’odeur que sa culotte avait refoulé. Alors ma rage de n’avoir pas voulus la posséder éclata à grands coups de boudoir. Je défonçais ma femme qui hurla de douleur et de plaisir. Puis je déchargeais en un cri bref, vite étouffé par les râles de ma femme qui me mâchouillait le pénis avec son anus.
- Ah ! Alain, quel enthousiasme, quelle rage ! Fit ma femme, alors qu’elle s’essuyait le cul. Qu’est-ce qui t’a pris ?