1. Tantric


    Datte: 10/02/2021, Catégories: fh, hotel, pénétratio, initiatiq, Auteur: Dorland, Source: Revebebe

    ... thèmes abordés sont un peu bizarres, utopiques, et invraisemblables : même des extra-terrestres y ont une place ! Vous trouverez, en survolant le chapitre 3, ce passage où une femme enseigne à son partenaire une sorte « d’étreinte à l’immobile ».
    
    Le parc était désert et avant de nous séparer, dès le franchissement du portail, nous échangeâmes un baiser qui me fit l’effet d’une vitamine.
    
    ***
    
    Peu de jours après, nous avions convenu d’une chambre d’hôtel, où dès le matin, nous allions nous retrouver. Pour une gymnastique que les revues, dithyrambiques envers le yoga, ne mentionnent guère.
    
    La lecture que m’avait proposée ma partenaire, précisait qu’il s’agirait d’« une sorte de rituel, de coït sacré ».
    
    Cérémonie, plus ou moins réglée, dont j’avais été averti qu’elle demanderait du temps : nous avions prévu de rester ensemble dans cette chambre, de 9 heures à 17 heures. Je n’imaginais pas que nos ébats exigeraient une telle durée – journée de 8 h, comme au travail !
    
    En entrant dans la chambre d’hôtel, c’est elle qui tourna la clé. Elle entreprit aussitôt de me dévêtir, en disposant mes vêtements avec soin : gentille attention ! Sur chaque partie de mon corps dénudé elle posait un baiser et la caressait de sa chevelure.
    
    Je suivis la même procédure. Tantôt lui faisant face, tantôt dans son dos, par cette marche circulaire, je l’enserrai dans une spirale de baisers, parfois prolongés. Mes mains tâtonnantes et caressantes retiraient les éléments qui me privaient ...
    ... de sa peau que j’humais, que je goûtais. M’accroupissant je m’attardai au creux tiède et humide où je m’abreuvai un instant, lapant et frappant de ma langue et de mes lèvres. Debout elle s’adossa au mur et fit en sorte de se dégager de sa petite culotte que je gardai à la main.
    
    Quand je sentis ma partenaire rendue et abandonnée, me redressant après avoir bu à « la fontaine du Lotus d’or » – comme le disent les taoïstes – j’accrochai sa culotte à mon « tigre de jade ». Elle rit, et retirant le vêtement, elle salua mon sexe d’une main mutine qui joua un court instant.
    
    Je regardai le lit et m’apprêtai à le rendre plus accueillant quand elle me demanda de m’asseoir en tailleur à même la moquette. Fort douce, au demeurant, la moquette !
    
    Elle vint s’asseoir au creux de mes jambes, enfonçant en elle le phallus pour lequel son désir avait préparé la voie. Elle enserrait mon dos de ses jambes, joignit sa bouche à la mienne pendant que ses mains emprisonnaient ma tête et chahutaient mes cheveux.
    
    Elle avait assez d’appuis des pieds et des mains pour s’élever et redescendre. Ses yeux étaient clos et je vis son visage s’adoucir, se défaire de toute tension. Son sourire disait une sorte de béatitude.
    
    Afin de ne pas ressentir ce moment d’excitation qui déclenche, chez l’homme, plaisir mais aussi détumescence, je mis en exercice mental tout ce que je pouvais pour retarder l’éjaculation. Et je savais – ayant étudié sérieusement une littérature spécialisée – qu’après un certain ...