1. L'arbre


    Datte: 08/02/2021, Catégories: couple, forêt, fsoumise, facial, Oral nopéné, fdanus, jouet, jeu, attache, yeuxbandés, tutu, Auteur: Gromok99, Source: Revebebe

    ... sensations.
    
    Il a toujours aimé ton clitoris, il sait bien comment le cajoler mais aussi comment le maltraiter.
    
    Pendant de longues minutes tout ton être va se concentrer sur ce clitoris qui va être vibré, léché, aspiré, écrasé, étiré, frappé…
    
    Mais cette pince maudite (ou bénie ?) t’empêche de jouir.
    
    Ou bien t’empêche-t-elle d’arrêter de jouir ?
    
    La tension est trop forte, la position debout trop inconfortable.
    
    Tes jambes fléchissent, il faut arrêter.
    
    Avec une tendresse bienvenue après ces excès, il te prend la taille pour te soutenir et défait les liens de tes mains.
    
    Tu peux enfin te retourner et t’accroupir dos à l’arbre pour te reposer. Il pose un blouson sur tes épaules.
    
    Mais tu n’enlèves pas ton bandeau, il comprend que ce n’est pas fini, que tu n’as pas fini…
    
    Il écarte tes cuisses, sa main est sur ton sexe.
    
    Non, il ne recommence pas à jouer de ton corps, au contraire.
    
    Avec délicatesse il te libère de tes jouets le plus doucement possible.
    
    Bien sûr il les porte à ta bouche pour que tu les lèches et les laves, on ne se refait pas…
    
    Long moment de silence et de détente, tu as refermé les cuisses pour être plus confortable, il n’a pas réagi.
    
    Tu te sens mieux.
    
    Tu te redresses un peu, tu fais tomber le blouson de tes épaules, tu ouvres les cuisses, tu l’appelles…
    
    Il est là, il t’embrasse.
    
    En fait, c’est le premier baiser de la soirée !
    
    Vos baisers ont toujours été chauds, torrides même. Ils ont toujours montré l’amour, la ...
    ... fusion, la passion. Vos baisers ont toujours été une autre façon de vous faire l’amour…
    
    Tu gémis à nouveau, mais lui aussi.
    
    Il s’éloigne.
    
    Tu essaies de prolonger ce baiser mais avec ce bandeau tu ne sais pas où il est, ta bouche n’embrasse que le vide.
    
    Tu comprends qu’il est derrière l’arbre : il a pris tes mains et il les attache de l’autre côté du tronc.
    
    Aux bruits, tu sais qu’il est revenu face à toi.
    
    Tu ouvres les cuisses, tu remues le torse pour agiter les papillons qu’il n’avait pas ôtés de tes tétons, tu entrouvres la bouche et passes ta langue sur les lèvres.
    
    C’est comme si tu l’appelais, mais tu sais que c’est ce qu’il voulait voir.
    
    Tu entends des bruits que tu reconnais : il défait sa ceinture, il baisse son pantalon.
    
    Tu sais ce qui va arriver.
    
    Tu es là, accroupie, attachée à un arbre, cuisses ouvertes, seins exposés mais surtout la bouche à hauteur de son bassin.
    
    Dire qu’il croit t’avoir mise ainsi selon ses envies…
    
    Quand tu as eu ton coup de fatigue tu aurais pu te reposer n’importe où, même dans la voiture. C’est toi qui as choisi de te baisser dos à l’arbre, anticipant cette suite.
    
    Plus un bruit.
    
    Tu sais qu’il se caresse en te regardant.
    
    Tu te rappelles, tu imagines ses mouvements, lents, rapides, légers, forts…
    
    Tu sens que ton sexe s’échauffe à nouveau.
    
    Il est là, tu sens son gland contre ta joue.
    
    Il te caresse du gland, il redessine ton visage avec l’extrémité de son sexe.
    
    Il frôle ton cou, il descend ...
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