1. Domination de Madame et Monsieur 9


    Datte: 07/02/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Maître Cocufieur, Source: Hds

    ... demandé d'en profiter immédiatement, n'importe où et à n'importe quel moment. Il arrive qu'au cours de leurs randonnées nocturnes, certains gardiens soient attirés par le spectacle des corps denudés couchés dans les étables, à même la paille. Ils peuvent s'en servir immédiatement, sans réveiller les lopettes qui ouvriront les yeux en ressentant une grosse présence dans leurs trous et le souffle chaud des baiseurs sur leurs nuques.
    
    Le second black était en train de limer le cocu qui criait de toutes ses forces, alors qu'à côté, Océane, fourrée jusqu'à la garde, couinait en demandant plus. Elle haletait et appelait son baiseur à continuer, elle voulait que ces moments d'abandon sous les coups de butoir du black conquérant durent une éternité. Quand il fut à point, le gardien sortit son chibre de la vulve et dirigea son jet d'un sperme chaud et visqueux vers le visage d'Océane.
    
    Le cocu remuait du cul. Le black qui le tirait admirait les fesses très féminines qui hapaient son gros zob. Cette poussée d'excitation amena rapidement un flot interrompu de sperme qui inonda le derrière du cocu. Le premier gardien ordonna à Océane de lécher le précieux liquide de son ami sur le postérieur de son mari. Les deux gardiens demandèrent ensuite au couple de leur nettoyer les verges. Puis, ils conduisirent les deux putes aux étables, sous les coups de fouet et les insultes.
    
    Dans la pénombre, Océane distingua des box alignés de part et d'autre d'une allée où trônaient une croix de St ...
    ... André, des carcans, des slings, des sofas et d'autres objets destinés à donner du plaisir aux maîtres sadiques mais aussi aux slaves maso qui venaient volontairement ici pour s'abandonner à la loi des vrais mâles. Les maîtres sont généralement des Européens mais les gardiens baiseurs sont souvent des Africains et des Arabes recrutés sur la taille de leurs engins et leur capacité à traiter les lopettes comme de simples trous à bites, des vide-couilles à ne pas respecter et à traiter comme tels.
    
    Les épouses et les accompagnatrices des maîtres, issues des milieux d'affaires, de la bourgeoisie et même de l'ancienne noblesse pouvaient assister aux orgies et autres soirées de débauche collective organisées par maître Lopez et ses amis. Mais derrière des glaces sans tain. Elles pouvaient se masturber en regardant les gardiens baiseurs s'accoupler avec les lopettes après leur avoir infligé un traitement spécial sous forme de flagellation ou de tortures diverses sur les seins et les parties intimes. Ainsi en est-il de Mélissa, une superbe plante catalane d'une trentaine d'années, la seconde épouse du propriétaire des lieux, qui ne rate aucune soirée ! Mais le secret de Mélissa, bien gardé, n'est pas dans ces spectacles de débauche collective ponctués par des accouplements sauvages auxquels elle ne participe pas. Mélissa adore se faire passer pour une esclave ! Elle mouille abondamment à l'idée d'ouvrir ses jambes dans l'un des box de l'étable et d'attendre l'arrivée des gardiens ...