Le barbecue
Datte: 07/02/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
copains,
fête,
Oral
pénétratio,
Auteur: Igby, Source: Revebebe
... ton de sa question mais je sais ce dont j’ai envie, là, maintenant. Alors que mon corps tremble d’excitation, je me rapproche encore d’elle et mes mains viennent doucement se poser sur ses hanches. Je la sens frémir mais elle ne dit rien. Devant cette absence de réaction je m’enhardis un peu et me colle à elle, mes pieds de part et d’autre des siens, nos bassins soudés, ma poitrine contre son dos. Mes mains passent ensuite très lentement de ses hanches à son ventre et se croisent sur celui-ci. Guettant sa respiration irrégulière, je penche ma tête juste au-dessus de son cou et souffle doucement sur sa nuque. Puis, lentement, en tentant de dissimuler les battements de mon cœur qui s’accélèrent, je dépose délicatement mes lèvres dans son cou. Je goutte sa peau fine une fois, puis deux en descendant de sa nuque sur son épaule.
— Qu’est ce que tu fais ? me demande t elle dans un souffle.
— Je te réconforte.
Doucement elle se tourne vers moi, me regardant dans les yeux. Sans attendre je pose mes lèvres sur les siennes et y reste quelques secondes avant de la regarder à nouveau. Elle ne bouge pas, me fixe un moment de ses yeux bleus comme si elle était contrariée puis, d’un coup, presque violemment, elle se jette sur moi et emprisonne ma lèvre inférieure entre les siennes, ses bras enserrent mon cou à m’en étouffer alors que j’agrippe ses hanches pour ne pas être déséquilibré. Dans le mouvement elle se retrouve adossée à la vitre qui vibre doucement sous notre poids, ...
... atténuant le choc.
Notre baiser se fait alors plus passionné, nos corps bouillonnants serrés l’un contre l’autre, nos langues se cherchent puis se lient, se caressent, passant de sa bouche à la mienne dans un ballet désordonné mélangeant nos salives et nos souffles brûlants. Mes bras engourdis demandent délivrance, je glisse mes mains sur ses fesses palpant la chair finement rebondie de son corps délicieux, la plaquant contre la vitre avec fougue. Son ventre collé au mien, elle ne peut ignorer mon excitation presque douloureuse. Je passe alors ma cuisse droite entre ses jambes et je sens la chaleur qui irradie au travers de son jean. Doucement je commence un mouvement de va et viens de ma cuisse entre ses jambes, de haut en bas pour faire monter son excitation et la mienne du même coup.
Notre baiser est de plus en plus sauvage, nos salives s’étalent le long de nos joues, de nos mentons. Nous nous dévorons mutuellement alors que nos sexes se frottent impudiquement l’un à l’autre au travers de nos vêtements. Ses mains passent sous mon t-shirt et effleurent ma poitrine tandis que je masse toujours ses fesses en pressant son bassin contre le mien. La chaleur, l’excitation et nos souffles forts forment une bulle autour de nous à tel point que nous n’entendons pas Justine, qui vient visiblement prendre de nos nouvelles, avant qu’elle soit en haut de l’escalier. Elle entre dans la chambre alors que nous tentons dans la précipitation de remettre nos habits en ordre. Par chance elle ...