Toute une journée !
Datte: 07/02/2021,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
couple,
inconnu,
fdomine,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
entreseins,
facial,
Oral
69,
pénétratio,
conte,
Auteur: Gbeag, Source: Revebebe
Il y a de ces journées qui finissent beaucoup mieux qu’on ne le pense ou plutôt d’une manière inattendue. Celle-ci bat toutes les autres à plate couture. Cette journée avait commencé comme tant d’autres, la routine quotidienne jusqu’à un premier texto de ma femme :« Je t’aime », belle attention toujours appréciée.
La journée avançait, je reçus un nouveau courriel avec une photo d’elle dans une magnifique robe qui lui allait à ravir :« Bonne journée mon chéri ». Ceci me fit sourire et m’encouragea dans cette interminable journée ; celle-ci s’écoulait très lentement jusqu’à un nouveau courriel qui à ma grande surprise incluait une photo d’elle en soutien-gorge et petite culotte de dentelle avec la mention :« J’ai hâte de te voir ce soir ». Je dus cacher mon excitation qui montait en voyant ces courbes généreuses qui me faisaient autant d’effets qu’au premier jour.
Quelques temps après, un petit colis en apparence très normal me fut livré. Je l’ouvris nonchalamment et ce fut à ce moment que le cours de la journée changea complètement. La boîte contenait des sous-vêtements de dentelle avec une petite note :
Le trajet fut accompli en un temps record mais surprise, ce n’était qu’un bureau de poste rempli de casiers postaux. Je me rendis au casier 5482 comme indiqué sur la clé pour y découvrir un téléphone avec une nouvelle note :
Aussitôt dit, aussitôt fait ! En ouvrant le cellulaire, celui-ci se dirigea vers un lien web ; je n’en crus pas mes yeux. Ce lien conduisait ...
... à une caméra web pointée vers ma femme, nue dans notre lit ; elle se caressait !
— Bonsoir mon amour, tu vois bien que je n’en peux plus de t’attendre. Viens vite me rejoindre !
Il était presque impossible de se concentrer sur la route avec de telles idées en tête. De plus, j’entendais les gémissements de ma femme qui continuait de se caresser, tantôt avec ses doigts, tantôt avec son vibrateur. Mon ardeur était à son plus fort, je me demandais comment j’allais arriver à la maison en un seul morceau sans que mon membre n’explose. Je réussis tant bien que mal à arriver à bon port et me dirigeai, telle une fusée, vers notre lit mais ma femme avait d’autres plans en tête.
— Pas tout de suite, mon chéri. Assieds-toi sur cette chaise et regarde-moi sans te toucher.
C’était plus que cruel. Je devais la regarder se caresser, se tortiller de plaisir sans pouvoir rien y faire. Je me sentais sur le bord d’exploser et ma femme le savait trop bien, elle redoublait d’ardeur en écartant au maximum ses jambes pour que je la voie encore plus caresser son sexe plus qu’humide. Elle poussait des cris de jouissance d’une puissance inouïe pour me pousser à bout. Je pouvais même voir son jus couler le long de son sexe et de ses cuisses.
Ce petit manège me sembla durer une éternité ; lorsqu’elle vit que j’étais à bout, plus capable de me retenir, elle me dit :
— Laisse-toi aller, mon pervers ! Je m’occupe de tout !
Tel un geyser, mon sexe explosa et arrosa tout mon sexe. C’est ...