La rencontre d'Aline - Histoires de Sexe

La rencontre d'Aline

... suis à peine rentré que je cède à la tentation et pousse mon sexe le plus loin possible, ma femme crie, je recule et de nouveau m’enfonce en elle, elle halète. Puis j’accélère le mouvement, mais je ne veux pas finir tout de suite, je ressors et d’une main ferme je fais mettre ma femme en levrette et je recommence à entrer en elle, de plus en plus fort de plus en plus profond, je ne sais plus où j’en suis, j’ai flirté avec une autre et me retrouve à faire l’amour à Carole comme je ne lui ai plus fait depuis des années.

À chaque coup de reins j’ai l’impression de m’enfoncer de plus en plus, ses fesses percutent mon ventre, mes mains sont ancrées dans ses hanches, ma verge se raidit, je m’enfonce au plus profond de ma femme, ma verge me trahit et dans un cri je jouis en jets puissants. Ma femme s’allonge sur le ventre, je suis son mouvement en restant planté en elle. Je sais qu’elle aime que je reste en elle après l’amour.

Après quelques minutes, nous nous sommes tournés, je suis sorti d’elle et elle est venue se blottir dans mes bras. Après quelques hésitations elle s’est jetée à l’eau :

— Elle t’a fait de l’effet, Aline.
— Pardon ?
— Chéri, tu ne m’as plus refait l’amour comme cela depuis des années.
— Ça vient aussi de toi.
— Oui, j’ai été émoustillée de voir que j’étais toujours jalouse.
— Voyons, tu sais bien que je…
— Oui, mais si je n’avais pas été là ce soir, l’aurais-tu raccompagnée ?
— Peut-être, avoué-je.
— J’ai aimé être jalouse, j’ai aimé qu’une ...

... autre ait envie de mon homme, j’ai aimé que tu me reviennes. Je ne la trouve pas très belle, mais elle a un charme fou.
— C’est vrai, elle a du charme.
— Et moi, j’ai toujours du charme ? demande Carole.
— Tu es la plus belle ! lui réponds-je avec un bisou sur la joue.
— Non, ce n’est pas vrai, j’ai grossi, j’ai vieilli, mais est-ce que j’ai du charme ?
— Oui, ma puce, tu as un charme fou.
— Menteur.

Je ne sais plus si c’est elle ou moi qui ai arrêté de parler, en tout cas nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre cette nuit-là.

Le lendemain matin, je me suis demandé si cette conversation avait été rêvée ou si elle avait vraiment eu lieu. Je me suis levé le premier, je suis descendu et j’ai pris ma douche en bas pour ne pas réveiller Carole. Je suis remonté, l’ai embrassée doucement, elle m’a souri. Après quelques minutes elle m’a dit :

— Je suis jalouse.
— De quoi ?
— De toi, tu commences à regarder autour de toi, je ne te suffis plus.
— Ne dis pas ça.
— Si, je suis jalouse.
— Tu n’as pas de raison.
— Tais-toi ! m’a-t-elle ordonné.

Elle s’est redressée, s’est assise sur le lit face à moi et a continué :

— Je suis ta femme et je vais redevenir ta maîtresse, je veux te redécouvrir, je veux que l’on se retrouve. Aide-moi s’il te plait.

J’allais parler mais elle m’en empêcha en mettant un doigt sur ma bouche et reprit :

— Ne me trompe pas, j’ai confiance en toi, dis-moi toujours tout, même si tu dérapes à un moment donné.
— Je te le ...