Nadette a des idées (moi aussi parfois) - Histoires de Sexe

Nadette a des idées (moi aussi parfois)

... et défais mon pantalon. Ma queue peut enfin se dresser sans entraves. Elle se penche en avant pour me sucer, tournant ses fesses vers une caméra, l’autre la prenant de profil en train de me pomper. Elle ne met pas très longtemps à me faire cracher mon foutre, qui s’écrase sur son visage. Nous nous redressons tous deux et après avoir réorienté les caméras je dis :

— J’espère que vous retiendriez la leçon et que vous serez plus attentive à partir de maintenant.

Avec une petite voix elle me répond se frottant les fesses reniflant :

— J’ai bien compris, je ferais attention, cela ne se reproduira pas.
— C’est bien. Remettez de l’ordre dans votre tenue et reprenons le travail.

Une fois les caméras coupées, Je demande à Nadette :

— Ça va ? Ça n’a pas été trop… dur ?
— Hou à la fin si. Je me demandais quand tu allais arrêter.
— Et moi je demandais quand tu allais faire le signal convenu. Je voyais tes fesses rougir de plus en plus et tu ne me faisais pas signe d’arrêter.
— Moi je croyais que tu allais cesser quand mes fesses auraient pris suffisamment de couleur pour faire vrai.

Nous nous sommes regardés et avons éclaté de rire. Ma puce enchaîne :

— Elles sont si rouges que ça mes fesses ?
— Elles sont rouges. Tiens regarde. dis-je en sortant un miroir d’un tiroir de mon bureau.

Mais si tu trouves que cela ne fait pas assez vrai, on peut prévoir un petit supplément.

Ma chérie baisse son slip, retrousse sa jupe et regarda dans la glace son postérieur ...

... en disant :

— Je ne crois pas qu’un supplément soit nécessaire, ça fait suffisamment vrai et même si ce n’était pas le cas ça ferait vrai malgré tout… Ha oui ! Quand même ! Elles sont bien rouges.
— Rouges de chez rouges. Je trouve qu’elles sont même un peu plus rouges que tout à l’heure.
— Cela ne m’étonne pas car ça cuit de plus en plus. J’ai l’impression que si on me posait une casserole d’eau sur les fesses elle se mettrait à bouillir.
— Je suis désolé, ma puce, je ne pensais pas avoir eu la main aussi lourde. J’espère que tu ne m’en veux pas.
— Bien sur que non je ne t’en veux pas. C’est moi qui ai insisté. Je pense que c’est une bonne idée pour le film, mais une moins bonne pour mes fesses.
— Ha bon ! Tu n’étais pas entrain de te découvrir une nature maso.
— Non je ne pense pas. Je crois que j’ai eu ma dose. À dire vrai je me demande comment on peut prendre du plaisir à se faire tanner le cuir ?
— Ce n’est pas à moi qu’il faut poser la question. Aller, nous allons rentrer.

Tandis que je range les bureaux, elle récupère et emballe les vêtements qui nous avaient servi. Comme j’ai fini avant elle je lui dis :

— Attends ! Je vais te donner un coup de main pour emballer les caméras.
— Question coup de main, j’ai eu ce qu’il faut pour aujourd’hui, par contre si tu veux m’aider, ce n’est pas de refus. me répond-elle en souriant.

Une fois tout fini, nous reprenons le chemin du retour. Dans le métro, nous allons nous asseoir sur des strapontins à cause de nos ...