1. Fatima, son mari et sa mère. (2)


    Datte: 04/02/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: zebre222, Source: Xstory

    ... lèvres pulpeuses. Sans m’en rendre compte, je lui dis : « tu es très jolie maman ».
    
    Elle m’a regardée, puis elle a souri et m’a dit : « merci, ma fille ». Elle m’entraîna par la main et me dit : « allez, il faut faire vite, ton père attend son café ».
    
    Je la sentais particulièrement excitée de venir chez moi.
    
    Elle me glissa à l’oreille : « tu as vraiment de la chance, ma fille, d’être là, ta maison est vraiment belle ».
    
    Elle me complimentait sur ma décoration, ma cuisine, elle n’a pas cessé de parler.
    
    Le café fut prêt, nous nous sommes dirigées vers le salon, ce fut au tour de mon père de lui dire : « comment ça, tu te sens déjà chez toi ? ». Elle lui répondit : « n’oublie pas que je suis chez ma fille », mon père n’avait pas l’habitude de voir ma mère retirer son voile, à part chez elle.
    
    J’ai dit à mon père qu’elle ne devait pas rester comme ça toute la journée, même ici, elle était chez elle.
    
    Nous sommes toujours au salon quand mon mari fit son entrée, après les salutations et les baisers de bienvenue, ma mère et moi, nous nous sommes retirées du salon pour préparer le déjeuner et laisser les hommes discuter ensemble.
    
    Ma mère, qui était blanche de peau, mais avec des cheveux noirs, elle avait réellement de beaux seins et bien faits. Elle portait des bijoux traditionnels.
    
    Elle n’avait pas besoin pour attirer le regard, je crois que mon mari avait raison de fantasmer sur elle.
    
    On a préparé le déjeuner ensemble, puis rejoint les hommes au salon. En déjeunant, lorsque mon regard se porta sur le sexe de mon mari, car il était en face de ma mère, son sexe était tendu. À un moment, relevant la tête, je vis mon mari qui s’employait à mettre son sexe à l’abri des regards, car celui-ci commençait à prendre une belle vigueur.
    
    Au même moment, je croisais le regard de ma mère qui me souriait et qui, sans aucune gêne, me fit un signe de son œil gauche me désignant la braguette mon mari, en faisant passer la langue sur ses lèvres discrètement.
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