Parenthèse avec ma tante
Datte: 04/02/2021,
Catégories:
Hardcore,
Mature,
Inceste / Tabou
Auteur: tamilboy69, Source: xHamster
... tante, féline au diable en lui caressant sa fente royale, se laissant faire toute docile m’apparut comme un conte enchanté.
Je fus en plein rêve.
Chantal fit un léger mouvement du bassin, signifiant le souhait de me voir à l’œuvre. Je stoppai mes caresses gourmandes pour m’allonger face à sa source.
Après de multiples baisers déposés de manière éparse, ma langue se fit à son tour scaphandrier. Avant de partir en immersion, je fixai du regard ma belle Chantal.
- Tu en profites ! Dit-elle, pas peu fière de voir son neveu admiratif de son corps.
- A mort…Répondis-je en débutant la dégustation de ma tante.
- Tu aimes me lécher. Dit-elle faussement blasée.
Son regard la trahit, en fait elle succombait intérieurement de se savoir autant désirée par un jeune mâle et par la même occasion, flattée de plaire avec sa plastique que je trouvais irréprochable. force est d’avouer que peu de femmes de 45 ans peuvent se narguer d’afficher de telles mensurations, car garder sa ligne avec 1m70 pour en afficher 54 kg avec des seins en forme de poire, un ventre plat des cuisses au galbe parfait et un cul irrésistible auraient pu faire rougir bon nombre de trentenaires.
Et puis il y eut un fait indéniable, faire jouir Chantal alors que j’en avais 18 représenta une sorte de graal absolu, la savoir si réceptive avec moi combla mon égo et la qualité de nos rapports dépassa mes espérances. Mais au fond de moi-même, la voir jouir, se tortiller, gémir de plaisir représenta la ...
... consécration.
- Oh nom de dieu, que tu es belle ! M’exclamai-je dans une profonde sincérité.
Ma tante leva les yeux au ciel, aussi j’entrepris de l’emmener vers cette étendue céleste. Là où mon scaphandrier s’était perdu, je décidai l’exploration de cette oasis sauvage en berçant ma langue le long des dunes, pour finir par baigner dans sa source adorée.
La gardienne du temple me scruta un temps, mais ma baignade provoqua de forts remous et je la vis clore ses yeux, s’associant à mon désir de la voir être caresser par un nuage de pluie. Ma bouche toute entière s’accapara les lieux, mes mains glissèrent de dunes en dunes, admiratifs de ce sable fin et si lisse.
Une tempête de sable se fit jour, aussi mes mains tels de preux chevaliers trouvèrent refuge au pied de deux colline, sorte de dunes perchées. La source se mit à gronder, mes doigts rejoignirent leurs sommets pour faire face à l’indomptable. Maladresse de leurs parts puisque la tempête s’accentua sous la pression qu’ils exerçaient !
Il me fallut me mettre au bas de cette source abondante, m’abreuvant de ce liquide à la fois limpide et mystérieux. La gardienne émit quelques sons, semblable à des gémissements de pure bien-être, ressentant la présence physique des chevaliers sur la crête de ses dunes. Face à ce tourbillon, ce tumulte, je pris la décision d’abandonner la source pour me redresser, faisant face à la propriétaire de cet endroit délicieux, fascinant voire paradisiaque. Le ciel se remplit de nuages ...