Parenthèse avec ma tante
Datte: 04/02/2021,
Catégories:
Hardcore,
Mature,
Inceste / Tabou
Auteur: tamilboy69, Source: xHamster
... les jambes à la verticale, aussi j’eus à loisir de la doigter en restant dans son orifice précieux, tout en tournoyant à l’intérieur. L’effet fut immédiat, un long râle de ma tante se fit entendre preuve d’une jouissance imminente.
- Oh ouii…Prend moi Jean, viens me baiser encore…
- Oui je vais te baiser comme tu aimes !
- Je suis à toi mon neveu chéri. S’exclama-t-elle.
Chantal se dégagea avec grâce pour se mettre un oreiller derrière la tête. Elle mit ses bras en croix derrière la tête et écarta ses longues jambes. Elle ne fut ni gracieuse ni sensuelle, mais simplement hyper attirante physiquement, sexuellement.
Je m’allongeai sur elle, nos corps unis l’un à l’autre. Je me soulevai légèrement et ma tante guida mon sexe à l’entrée de son orifice. Mon visage se plaça à la hauteur du sien et sentant mon souffle, ma tante ouvrit les yeux.
Cette fois, ce fut elle qui m’offrit ses lèvres.
Des lèvres pulpeuses, sensuelles.
Des lèvres qui vous interpellent, qui appellent au désir.
Je l’embrassai comme un fou, sentant la chaleur de son corps lorsque mon sexe se perdit dans ses profondeurs. J’entrai en elle, nos lèvres furent collées et nos langues s’immobilisèrent, nous fûmes dans une symbiose totale durant ce moment entre ma tante et moi.
Ce fut l’Acte Sexuel à l’état brut.
- Oh la vache, c’est vraiment super de te sentir mon chéri. Me dit-Chantal tout naturellement.
- Alors nous sommes deux. En laissant mes lèvres contre les siennes.
Puis je ...
... me redressai, ma tante promenant ses mains sur mon torse, je débutai de lents va et vient en elle.
Comme par enchantement, elle posa ses pieds ravissants à hauteur de mes lèvres, histoire de me faire comprendre qu’ils furent à ma disposition. Je ne me fis pas prier et suçai âprement ses orteils raffinés, son regard expressif fut rempli d’une fierté intérieure de se faire croquer intégralement par son jeune amant. Ma tante totalement relâchée ne fut pas avare de paroles durant notre coït.
- Tu aimes tant que ça me sucer les pieds ? S’interrogea-t-elle une nouvelle fois.
- Tu ne peux pas savoir comme ils sont sensuels et si beaux ! Dis-je, mon sexe baignant dans sa chaleur.
- Si je comprends bien, je te plais de partout…
- Oui partout, allez laisse-toi te faire baiser ma Tatie. Ajoutai-je en lui donnant de grands coups de reins bien contrôlés, en douceur pour apprécier ma pénétration.
- Continue, c’est si fantastique avec toi ! Laissant éclater sa joie, son bien-être, sa béatitude en se faisant posséder par son jeune amant.
Je contemplai ma tante, voyant mon sexe disparaître dans son corps sublime.
Et Baudelaire m’apparut.
"La femme est une divinité, un astre, qui préside à toutes les conceptions du cerveau mâle ;
c’est un miroitement de toutes les grâces de la nature condensées dans un seul être;
c’est l’objet de l’admiration et de la curiosité la plus vive que le tableau de la vie puisse offrir au contemplateur".
Je restai inerte en elle, ...