De la noblesse et de bien belles fesses - Histoires de Sexe

De la noblesse et de bien belles fesses

... le cours naturel des choses. Et Dranguard attendait, patiemment. Ce ne fut que quand elle finit par enlever le dernier morceau de soie qui dissimulait les formes de son postérieur, que Dranguard sortit de sa patiente contemplation.

— Tout ceci m’a l’air extrêmement alléchant madame. Je m’en régale d’avance.
— Et… quelle présentation désirez-vous, monsieur ?
— Allongée, sur le ventre. Les jambes légèrement écartées, je vous prie. Et bien sûr, aucune préparation d’aucune sorte. J’aime que les choses soient faites naturellement.
— Naturellement, monsieur.

C’est ainsi que Jaessa se plia aux souhaits du vicomte. Elle n’était pas d’humeur à tergiverser, et n’avait nulle envie de retarder l’inévitable, bien au contraire. Confortablement étendue sur le lit, elle se plia aux souhaits de son futur cavalier. Cette petite mise en scène, et l’attente qui en découlait, ne faisaient que renforcer son excitation. Et le désir qui brûlait comme jamais dans les yeux du comte, décuplait encore sa propre envie.

— Me permettez-vous de goûter ce mets si appétissant, avant consommation ?
— Bien sûr, monsieur. Prenez donc le temps d’apprécier ce plat si unique.

Alors les mains de Dranguard s’approchèrent de ce fessier si élégamment offert. Ses doigts l’effleurèrent tout doucement dans un premier temps, comme s’il venait là de redécouvrir des joyaux perdus depuis des années. Puis plus fermement, brutalement même, il se mit à malaxer ces fesses qui s’offraient sans pudeur à ses yeux ...

... et ses mains. En attendant la suite…

— Madame, j’ai le plaisir de vous annoncer que je suis totalement sous le charme de ce délicieux mets que vous me proposez. Il me convient à merveille.
— En ce cas, monsieur, je vous en prie, servez-vous.
— Si madame veut bien m’accorder quelques secondes… Je suis à vous tout de suite.

L’attente de Jaessa ne fut guère longue. Elle sentit rapidement un membre bien dur – une vieille connaissance – à l’orée de ses fesses, qui semblait comme examiner les lieux. Ce simple contact redoubla encore son excitation. Il semblait que le vicomte toutefois, prenait plaisir à retarder l’inévitable pénétration, comme pour mieux apprécier cet instant tant désiré.

— Et alors, monsieur ? Servez-vous donc.
— Ne vous inquiétez pas pour ça, madame et… ne soyez pas trop pressée si je puis me permettre, car vous risqueriez de le regretter d’ici peu.
— Et pourquoi cela, monsieur ? J’aime quand le client est satisfait.
— Mais un client ayant payé le prix fort ne montre que peu d’égard pour la cuisinière, madame… seul le plat l’intéresse. Aussi…me pardonnerez-vous d’avance, ma reine… d’aller directement à l’essentiel.

Et c’est sur ces ultimes paroles que pour la seconde fois le comte de Dranguard se fraya un chemin entre les fesses de Jaessa de Kern, première dame du royaume. Les deux protagonistes de cette scène bestiale qui s’annonçait ne purent chacun retenir un cri de jouissance, longue délivrance après des années de frustration. On eut dit que ...