Une douche épuisante - Histoires de Sexe

Une douche épuisante

... voir comment est ta rosette ! T'a l'habitude de te faire enculer mais avec deux bites tu dois être serrée comme une pucelle ! »

Je m'insurge avec véhémence ce qui les fait rigoler. C'est Christian qui fait le passage le premier malgré mes refus et mes insultes. Une foi bien installé au fond de mon cul, il fait signe à Pierre d'y aller. Quand il pousse pour entre dans mon petit trou, je ne cris plus. Je meugle comme une vache qu'on emmène à l'abattoir. J'ai l'impression que je suis déchirée. Heureusement pour moi, l'étroitesse de mes parois, les font éjaculer rapidement. Quand ils se retirent, j'ai la sensation d'un grand vide et par l'aspiration un flot de sperme s'éjecte et tombe au sol. Je serre les dents d'humiliation et prostrée, je reste dans ma position indécente.

Les deux hommes sont content d'eux et en se tapant dans les mains, ils me congratulent :

« T'es vraiment qu'un garage à bites Michèle ! C'était vraiment délicieux. Sers nous à boire Michèle pour fêter ça. T'as du champagne au frais je crois ! »

Nous descendons tous à poil au salon et pendant que ...

... je sers le champagne, leurs mains se font baladeuses. Entre ces deux mâles qui avaient abusé de moi, j'ai envie de prendre les commandes et en dominatrice, je leur ordonne :

« Maintenant que vous m'avez bien défoncé bouffez-moi la chatte et nettoyez les dégâts ! »

« Hoooouuu ! Tu prends du poil de la bête Michèle ! » Répond Christian.

Le voisin rajoute :

« Huuum ça va-être un délice avec tout ce qu'on t'a mis. »

Assise sur le canapé, cuisses largement écartées, les deux hommes se mettent à me bouffer la chatte le cul et le seins. Je nage dans le bonheur sous leurs langues et leurs doigts.

Après cinq minutes, de se régime, je part dans un orgasme incroyable, juste au moment où Alain rentre du travail.

« He bien je vois qu'on s’ennuie pas ici pendant que je bosse ! »

Les deux acolytes, ne se démonte pas et propose même à Alain de me finir. Il sort sa verge et me la place entre les seins pour se terminer au bout de dix minutes sur ma figure. Épuisée, humiliée, souillée, je reste pantelante sur le canapé pendant que mes trois bonhommes trinque à ma santé.