Mélanie, étudiante à Bordeaux (26)
Datte: 03/02/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
Anita passa une bonne partie de son après-midi chez l’esthéticienne ; celle-ci détruisit au laser les racines des poils, depuis les cuisses jusqu’aux avant-bras en passant par l’entrejambe, les aisselles et le visage. À la fin des opérations, la peau de la jeune fille était légèrement brûlée. De nombreuses zones douloureuses présentaient même de petites cloques ou des rougeurs ; Anita se retrouva badigeonnée avec un onguent gras, antiseptique et analgésique. Elle grimaça en passant sa robe car elle savait que celle-ci serait bonne pour un lavage dès son retour.
Lors du dîner, Lenoir aborda sa situation sans détour.
— Anita m’a demandé de la prendre en main ; vous êtes au courant toutes les deux. Ce matin, je lui ai donné un aperçu du monde de la soumission : positions et punitions. Elle a été à la hauteur, je trouve. Cet après-midi, elle a été épilée intégralement et définitivement à l’institut.
— Ouais ! rétorqua Mélanie en rigolant. Définitivement, mon œil ! Et je suis polie. Il faudra plusieurs séances. C’est comme la peinture monocouche blanche que tu as achetée pour refaire ma chambre : en deux fois, ça va presque.
— Et... tu as pris ça comment ? demanda Sandrine.
— Ce n’était pas évident pour moi d’être nue devant papa. Un vieux fond de pudeur. Je ne suis jamais à l’aise quand je dois me déshabiller, même chez le gynécologue. Alors...
— J’ai cru que tu n’y arriverais pas, avoua Lenoir. Mais tu as de la volonté, et du caractère.
— Ce doit être ...
... mes origines basques, hasarda la jeune fille en riant.
— L’épilation ne t’a pas secouée ? questionna Mélanie. Moi, je n’ai pas aimé.
— Menteuse ! ricana Lenoir. Les filles l’ont fait jouir une dizaine de fois à ce que j’ai su.
Mélanie ne put se retenir de rougir à ce souvenir. En effet, les employées du salon l’avaient caressée et léchée pendant presque une heure. Malgré l’interdiction de jouir édictée par Lenoir, elle n’avait pu empêcher son corps d’exulter à de nombreuses reprises.
— Ah ? s’étonna la petite Basque. Je n’ai pas eu droit au même traitement. J’envisage de me plaindre. Je n’ai ressenti que picotements et brûlures, en fait.
— Le résultat te plaît ?
— Oui, je crois ; je n’ai pas eu trop le temps d’apprécier le résultat. Mais une chose est sûre : je ressemblais à un homard au sortir du court-bouillon. Au niveau esthétique, ce n’est pas le top. En plus, j’ai des marques un peu partout dues aux leçons de papa...
— Ne t’en fais pas, Anita, expliqua Lenoir. Demain matin, c’est révision des positions et cours particulier de fellation, et l’après-midi, achat de vêtements sexy dans un magasin spécialisé. Ça va ?
Anita était devenue rouge vif en entendant le programme du matin. Cours de fellation ? Elle n’allait quand même pas sucer son père, non ? Ses oreilles brûlaient ; elle ressemblait à un lapin pris dans les phares d’une voiture.
— C’est l’idée de me sucer qui te perturbe ? demanda Lenoir. En fait, j’ai prévu de recevoir deux amis qui ...