1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1154)


    Datte: 02/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... chaussures. Il se lève pour me permettre d’ôter son pantalon et son caleçon et je découvre alors une verge impressionnante, fièrement dressée vers le plafond. Je ne peux m’empêcher de lécher mes lèvres.
    
    - J’ai envie de toi, la chienne, soupire-t-il tout en m’embrassant et m’attirant à Lui sur le lit... Installe-toi à quatre pattes sur le matelas et exhibe bien tes orifices …
    
    Je m’exécute et remarque un immense et haut miroir savamment placé en tête du lit. Les mains du Noble caressent mon postérieur pour en écarter les lobes. Sa langue frôle les replis cachés de mon intimité et remonte jusqu’à mon œillet. Ma faim est tellement aiguisée par les plaisirs frustrés sans orgasme de la journée que les sensations sont décuplées. Il passe un doigt dans mon anneau plissé, doigt vite rejoint par un deuxième qu’il fait tourner. Rapidement, sa verge vient investir mon cul en une seule poussée virile et profonde qui m’arrache un petit cri de plaisir. A Sa manière à la fois virile et sensuelle de me posséder, je comprends que c’est Lui le mystérieux inconnu qui m’a fait grâce de Sa queue dans l’après-midi.
    
    - Oui, c’était bien Moi. J’avais envie de goûter à ton superbe cul !
    
    La chaleur gagne ma tête car je rougis de plaisir à Son compliment. Il me serre contre Lui, Ses bras m’enveloppant et me caressant, mon dos plaqué contre son torse. Il ralentit alors la cadence le temps de quelques pénétrations profondes et puissantes. Je suis en extase et ne peut retenir ma poitrine de ...
    ... vibrer d’un soupir rauque et bestial tant cette situation me plaît. Il me besogne de plus en plus vite à grands coups de reins profonds et cadencés …
    
    - Oui, abandonne-toi à Moi ! M’ordonne-t-il à l’oreille avant de mordiller mon épaule.
    
    Je frissonne sans avoir froid. Je ne suis qu’eau à l’entrejambe. Il touche mon clito de la main et remonte lentement sur mon corps laissant un sillon de cyprine qui est feu ou glace, je ne sais plus. Je suce Ses doigts avec avidité, plaisir du sexe et du goût, je suis à l’évidence une chienne en chaleurs en manque de jouissance.
    
    - Regarde-toi dans le miroir, regarde comme tu es belle, la chienne !
    
    Je ne me reconnais absolument pas dans cette femme au corps nacré de transpiration, de mouille et de salive. J’ai l’impression de voir en réel l’image d’une BD de « Giaocomo C. » de Dufaux et Griffo.
    
    - Oui, c’est toi !
    
    Le Noble glisse à nouveau sa main d’un geste possessif, autant ferme que tendre sur mon bouton d’amour et je vois l’homme du reflet faire la même chose à cette femme si sensuelle dans son abandon total au plaisir. Mes bras sont relevés au-dessus de ma tête, de part et d’autre de Son cou, ma tête au creux d’une épaule, le cou offert. Je n’en peux plus de me contenir. Je sens venir l’orgasme du tréfonds de mon corps. Ma respiration devient saccadée et un gémissement rauque et animal sort de ma bouche. Le Noble accélère à nouveau Ses coups de boutoir d’une inouïe puissance, sa prise de possession de mon corps est bestiale, ...