L’insatiable Radia et le livreur de pizza
Datte: 03/02/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Romainro, Source: Hds
... je suis enfin seule chez moi. Je vais pouvoir mettre mon plan à exécution.
Je monte dans ma chambre et je prends une bonne douche. Une fois que je suis propre et sèche je me dis que contrairement à la vidéo, je ne peux pas accueillir le livreur complètement nue. Je sors les strings que j’ai acheté dernièrement, j’enfile le blanc en me disant que c’est celui qui laisse le plus deviner mes lèvres intimes. Je glisse bien la ficelle entre mes fesses et m’admire dans le miroir.
Ensuite je vais tirer un petit pull court que je porte, normalement, par dessus un chemisier. Il est très décolleté et large, en plus il s’arrête au dessus de mon nombril et dévoile une bonne partie de mon ventre. Je m’admire encore une fois et quand je me penche vers le miroir je vérifie que ma poitrine est bien visible.
Je descends dans cette tenue et je cherche dans l’annuaire une pizzeria qui livre et qui n’est pas trop proche de chez nous. Le sort en est jeté, je viens de commander une pizza pour 2 aux fruits de mer. On me précise que le livreur sera là dans environ 40 minutes. Qu’est ce que je vais bien pouvoir faire en attendant? Il ne faut surtout pas que je me masturbe pour laisser la tension sexuelle à son comble.
J’ai l’impression que les minutes sont des heures, mais en plus j’ai beau essayer de penser à autre chose, j’ai l’impression de mouiller sans arrêt. Je remonte dans ma chambre pour vérifier que ma tenue est la mieux possible. Alors que je me regarde dans le miroir, je ...
... remarque que le triangle de tissu blanc qui protège mon mont de Vénus est humide.
Quand je me rapproche pour mieux voir, je vois qu’il n’est pas humide mais trempé. C’en est à un point où on voit très nettement le contour de mes grandes lèvres. Le problème c’est que de mettre rendue compte de ça, me fait encore plus mouiller. Je ne contrôle plus ma main et me caresse à travers mon string ce qui va encore plus le tremper.
Sauver par le gong, on sonne au portail de l’entrée. Je me dépêches de descendre à l’interphone pour ouvrir, puis j’entrouvre la porte d’entrée et je vais m’assoir dans le salon. Quand j’entends toquer à la porte, je crie:
« Entre, j’arrive. »
J’entends les pas du livreur s’approcher alors je me lève pour partir à la rencontre de l’homme. J’espère juste que ce n’est pas un vieux religieux bedonnant!
Ce n’est pas du tout le cas, c’est un petit jeune de 18 ou 19 ans à peine. Il est assez grand et fin avec la peau clair. Il a des cheveux très noirs et les yeux de la même couleur. Il fait sévère mais dégage aussi quelque chose de doux. Plus je me rapproche de lui, plus il baisse la tête et rougit. Avec un ton joviale je lui demande:
« Poses la pizza dans la cuisine s’il te plait. »
Il avance, je le suis et ferme, discrètement, la porte d’entrée. Une fois qu’il a posé le carton je lui demande combien je lui dois, il me répond timidement:
« 120 dhirams, madame. »
Je me dirige vers mon sac, quand je me penche pour l’attraper je me cambre au ...