Sandrine
Datte: 03/02/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
sport,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
rasage,
Oral
init,
Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe
... plus précieux que j’ai jamais tenu et le dépose au fond de la poche de mon manteau.
Sandrine n’a pas l’air pressé de partir, elle parle, surtout de sa nouvelle tenue. Elle vante la douceur du tissu ainsi que son confort. Puis elle finit par avouer qu’elle a apprécié certains de mes regards lorsqu’elle jouait. Cela a le don de me fermer, je ne bafouille plus que des oui, des non ou des humff comme réponse. Je ne suis plus très causant mais très attentif à ses aveux.
— Je ne mens pas lorsque je te dis que cela m’a beaucoup plu. Tu verras bien lorsque tu nettoieras ma culotte…
— (là c’est double humff, plus visage pivoine)
— Ne l’oublie pas, sinon je vais être obligée de jouer les fesses à l’air et tu ne voudrais pas que je sois virée du club pour exhibition ?
— Non, non, non.
— Alors à mardi !
Je la laisse partir, puis à même le parking, je place le tissu sur mon nez et aspire comme si je devais rester dix minutes en apnée. Mélange de transpiration et de musc sauvage, mon pantalon se tend dangereusement. C’est donc ça, l’odeur intime d’une femme, j’essaie d’occulter la sueur afin de m’imprégner au mieux des parfums exquis.
Je me masturbe dans ma voiture, souillant mon pantalon, ma veste, le volant et que sais-je. Je n’en ai cure, je prends mon pied avec la culotte odorante.
C’est avec tristesse mais application que je lave et relave le bout de tissu dans mon lavabo. Je passe trois soirées à le bichonner et à me branler avec. Le lundi lavage et séchage, je ...
... reste sage.
oooOOOooo
Même heure, même parking, même place. Assis côte à côte dans sa voiture nous échangeons nos effets. Après quelques banalités Sandrine commence à parler comme à son à son habitude, en me mettant mal à l’aise.
Pour son plaisir, et bien entendu le mien, elle me taquine sur ce que j’ai bien pu faire de sa culotte. Je lui dis que je l’ai lavée soigneusement, mais mes arguments bégayés ne sont pas convaincants. Elle demande sans prendre de gants si je l’ai reniflée, touchée et si je ne me serais pas excité dessus. Par quelques borborygmes, j’avoue mes méfaits, je suis atterré d’être tombé si bas, la honte m’envahit, je voudrais pouvoir disparaître. Je savais que je ne couperais pas à ce genre de situation, pourquoi me suis-je laissé entraîner ?
— Christophe…
C’est la première fois qu’elle m’appelle par mon prénom, je ne sais pas comment j’y ai pensé à ce moment-là tant ma tête était emplie de questionnements.
— C’est très flatteur de savoir que je te fais cet effet. Ne sois plus intimidé lorsque nous parlons, comme je te l’ai déjà dit tout ceci restera entre nous. Allez, à l’entraînement nous allons être en retard, nous en reparlerons après d’accord ?
— OK !
Content d’être sorti de cette nasse, la queue compressée dans le caleçon, je me dirige vers la salle avec la ferme intention de profiter des toilettes. La porte vitrée résiste et après l’avoir secouée plusieurs fois je lis la pancarte annonçant l’annulation des cours cette semaine. Je ...