Sandrine
Datte: 03/02/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
sport,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
rasage,
Oral
init,
Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe
... langue, je ne peux que lâcher un « Wouawwwww » lorsqu’elle me roule une pelle endiablée. Elle n’a pas eu la patience de me faire languir plus longtemps, elle enfouit son muscle au plus profond de mon ventre.
— J’adore ça ! dit-elle en empoignant mon sexe à moitié en action pour le masturber.
— M… M… Moi aussi…
— Viens sur moi maintenant !
Je me retourne, nous nous roulons sur les tapis en faisant l’amour bestialement. Nos mains caressent et palpent les moindres parcelles de peau, passent sous les vêtements, les dégrafent, les retirent. Nos bassins roulent, tanguent tandis que je pistonne du mieux que je peux. Je tiens le choc et arrive même à jouir en même temps que ma tigresse. Nous sommes les acteurs d’un concerto de feulements et de râles plus puissants les uns que les autres.
Comme possédés, cette nouvelle jouissance exacerbe nos sens. Changement de position, c’est tête-bêche que nous nous goûtons. Mon sexe mou vient se lover entre ses dents bien au chaud et son minou baveux vient se blottir contre mes lèvres. Je lape nos liqueurs d’amour tandis qu’elle fait de même sur mon bâton qui reste en position semi-bandée, le pauvre n’en peut plus. Nos langues ne cessent de s’activer que lorsque le téléphone portable de Sandrine nous ramène à la réalité.
— Oui, chéri, dans vingt, vingt-cinq minutes, tu peux venir nous chercher.
— …
— Ne t’inquiète pas, Bastien et Gérard rentrent avec les autres.
Ce sont les deux phrases que j’ai à peu près retenues. Elle a ...
... répondu à son mari sans être le moins du monde gênée. Quelle comédienne ! Par contre dès qu’elle a raccroché c’est le branle-bas de combat, nous nous rhabillons le mieux possible et nous fonçons vers le vestiaire de la salle de judo pour nous laver la figure et remettre nos cheveux en place.
Pendant qu’on rejoint le parking, elle me dit combien elle a apprécié cet après-midi, les moments pervers mais aussi les moments de tendresse que nous avons partagés. Nous n’avons pas vu passer le temps, nous n’avons rien mangé et il est déjà seize heures trente. Heureusement que le portable était à portée, sinon comment aurions-nous fait s’il avait débarqué dans la salle et que nous n’étions pas présents ?
Dans la voiture, elle monopolise la conversation, histoire que son mari ne me parle pas trop de peur que je ne gaffe. Pas besoin car pour ma part, je m’endors comme un bébé à moitié allongé sur la banquette arrière, heureusement je ne parle pas pendant mon sommeil !
Arrivés chez moi, ils refusent de venir boire un rafraîchissement et me laissent donc monter seul les marches menant à mon appartement. Je me laisse tomber sur le sofa, un sourire béat sur le visage en me remémorant tous les instants qui ont mené à mon dépucelage. À des années-lumière de tout ce que racontent certains de mes amis, j’en reviens même à penser que cela valait bien toutes ces années de frustrations.
Ce faisant, je défais mon sac pour prendre ses affaires sales. Je hume les odeurs de transpiration émanant ...