1. Sandrine


    Datte: 03/02/2021, Catégories: fh, fplusag, sport, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, rasage, Oral init, Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe

    ... basse. Mais je suis heureuse de ton enthousiasme, voilà pour toi.
    
    La coquine ouvre le chemisier plus que de raison, surtout au vu de la population de ce lieu public. Je me penche pour en voir encore plus tout en posant une main sur ma braguette afin de ranger mon outillage qui essaie de sortir. J’ai une vue sur tout le balcon, bien fourni au demeurant, exquise dentelle qui couvre sa douce peau. Les mamelons turgescents et les aréoles pleines se devinent aisément. « Que du bonheur ! » me dirait un collègue s’il assistait au spectacle.
    
    Dangereuse mais enivrante position, elle s’en rend compte et se redresse en remettant les boutons pour que sa tenue soit présentable. Mes yeux voient toujours sa poitrine, l’image est incrustée dans mes rétines.
    
    — Je vais demander la note et je te raccompagne à la voiture me dit-elle.
    
    Dure réalité, chemin du retour en silence, chacun regarde droit devant défiler le bitume. Trop courte entrevue, mais sa vie de famille en interdit de plus longues.
    
    Sur le parking de la salle de sport, il n’y a plus que nos deux véhicules, Sandrine me demande de rester un peu avec elle, j’accepte sans condition, pourtant la belle défait ses boutons un à un et remonte outrageusement sa jupe. Je reste interdit sur le siège, une main vient caresser ma cuisse puis se pose sur ma verge.
    
    — Ne bouge pas Christophe, laisse-moi faire.
    
    Pendant qu’elle ouvre la braguette mes yeux se sont habitués à l’obscurité et je redécouvre ses trésors. Mes yeux ...
    ... roulent de la poitrine à ses cuisses, le spectacle est grandiose. Ça y est, ses doigts touchent ma peau, enserrent ma tige, je me fais branler ! Je ne mets pas longtemps à me tortiller sur mon siège pour décaler l’événement fatidique. Rien n’y fait, sa dextérité est plus forte, dans un râle sincère je m’épanche sur sa main et mon pull.
    
    Elle me fait signe de ne pas dire un mot, ni de faire un mouvement, j’obéis. C’est elle qui se contorsionne pour retirer sa petite culotte assortie au soutien-gorge qui lui aussi atterrit dans mes mains. Je n’ai que quelques secondes pour voir sa poitrine à nu avant qu’elle referme le chemisier et qu’elle me donne congé.
    
    — Et n’oublie pas, c’est fragile, donc tu nettoies à la main, dit-elle en baissant sa fenêtre.
    
    Seul dans l’auto, je renifle le dessous humide, m’imprègne de la première fragrance intime qui passe sous mon nez. Des heures, dans mon lit, je l’ai sentie cette adorable culotte. Des heures j’ai humé l’odeur du soutien-gorge pour me gaver de son parfum. J’ai léché l’entrejambe où se trouvent les odeurs les plus sauvages. Je n’ai pratiquement plus dormi durant cette semaine, les photos de son visage mutin, de sa poitrine et de ses cuisses passant et repassant dans ma tête.
    
    oooOOOooo
    
    Excité comme jamais je me présente à ma place de parking, à peine ai-je eu le temps de voir que le cours est à nouveau maintenu qu’une voiture bien connue se gare. Je me précipite vers elle mais je suis vite stoppé en voyant un homme descendre du ...
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