Il me fait sentir femme (4) - Histoires de Sexe

Il me fait sentir femme (4)

... Viens sur le pied du lit.

— Oui maître.

— Y a un gode là, prends-le, mets-toi à quatre pattes, la chatte bien en évidence, tu vas écarter ton string et te baiser comme une cochonne. Ne touche pas ton clito, compris ?

— Oui maître.

Alors que je me pénétrais avec le gode, Marie entra dans la pièce. Elle était nue, très belle, avec une toison, très belle toison sur le pubis et le sexe. Elle avait un regard étonné mêlé à un sourire vicieux.

— Elle aime ça, la petite. Laisse-moi tester quelque chose s’il te plaît.

— Oui, ma chienne est ta chienne.

— OK. Arrête de t’enculer, enlève complètement ta jupe et montre-moi ta verge.

Je lui montrais mon clito... Elle s’approcha et me lécha les bourses, puis elle me prit en bouche. Je regardais mon maître qui rigolait.

— C’est vrai qu’elle bande pas, wow. Par contre, elle mouille du clito. Une vraie femelle, hein ?!

— J’acquiesçais.

— Bon ma Sissy, lève-toi, prends la chaise dans le coin et plante le gode dessus. Empale-toi et regarde. On va baiser devant toi. Tu verras la différence avec une ...

... vraie chatte. Peut-être en voudras-tu une un jour.

Il la pénétrait déjà, elle était très excitée et couinait de plaisir. Elle me mettait en levrette, elle me regardait sauter sur le gode.

— Haa... haa, viens nous rejoindre petite pute, je veux lécher ton clito et te baiser avec le gode.

— On va être très copine toi et moi.

Avec précipitation, je me plaçais devant elle, les jambes écartées, je lui tendais le gode. Elle l’entra sans ménagement et lécha la chatte, les bourses et le clito, alternativement. Je couinais aussi. Au bout d’un certain temps, mon maître prit la parole.

Positionne-toi en 69 sous elle, lèche-lui aussi le clito pendant que je la baise, lèche-moi les couilles aussi. Je te baiserais plus tard, quand on sera tous les deux, ne jouis pas.

C’était surréel, les odeurs, les cris, la langue de Marie sur mon clito... Et quand mon Maître eut joui... je léchais sa semence sur le pourtour de la vulve de Marie, lorsqu’il se retira, j’avalais, tout le liquide s’écoulant d’elle, j’étais aux anges. J’avais fait le bon choix, le seul qui s’imposait.