COLLECTION LESBIENNES. Gladys (4/6)
Datte: 02/02/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Ce texte est un cadeau de Noël et de fin d’année pour mon amie Florence27 la reine des textes lesbiens et Olga T qui nous régale avec ses textes du passé.
Notre vie s’accélère depuis que nous sommes venues à Bordeaux, pour preuve, Gladys, la patronne de Clément, mon mari vient de m’offrir la jouissance d’une voiture et me pose sa main sur ma cuisse.
• J’ai rêvé de toi depuis que tu m’as quitté mon cœur.
Pas moi enlève ta main, gougnotte, je vais te mettre une tarte au milieu de ta figure salope.
C’est la phrase que j’aurais dû lui dire, j’essaye de me réfugier dans les risques que nous avons de nous retrouver de nouveau comme des SDF, mais c’est faux, je lâche l’une des mains de mon volant et j’appuie sur la sienne.
Miens, je la fais remonter pour qu’elle touche ma petite chatte.
• Je dois reconnaître que je l’oublie très souvent, j’adore me promener la chatte dénudée, j’aime regarder les femmes, droits dans les yeux et me dire que la salope que je fixe quand nous nous croisons regarde mon cul et voit qu’aucune trace de sous-vêtement n’est présente.
Ne crains rien, j’ai un short dans mon sac quand nous allons jouer et une tenue pour toi.
Nous arrivons, j’ai l’impression que c’est la princesse du club de tennis qui vient d’entrer, que je te bise à droite, que je te bise à gauche, Ophélie, Mana alors je bise, moi aussi, cette jeune femme.
Nous nous dirigeons vers un lieu fléché vestiaire.
• Monique, je te présente Ophélie, son mari est l’employé ...
... de Lucien, comment vas-tu, il y a longtemps que tu n’es pas venue !
• Je vois, bonjour Ophélie, tu as du courage de supporter cette jolie peste, mais tu sais, on l’aime bien quand même.
Une deux trois femmes croisées et chacune semblent regarder ma future partenaire bizarrement, plutôt, j’ai l’impression qu’elles sont pressées de nous quitter.
• Salut Gladys, Lucien a toujours la même patience avec toi, pardon, présente-moi cette jolie femme.
• Laisse tomber Lucas, tu finis par être lourd avec tes insinuations.
Nous arrivons près d’un vestiaire portant le numéro 3.
• Les mecs, ils abusent, parce que l’on refuse de se faire sauter, ils se croient autorisés à faire des réflexions.
Entre et ferme à clef, nous sortirons de l’autre côté directement en face du court que j’ai réservé, nous ne sommes pas obligées d’emmener toutes nos valeurs avec nous.
Enfin seule.
Je tourne le loquet, nous isolant, quand elle me prend dans ses bras et m’embrasse aussi intensément que dans la piscine.
• Caresse-moi, samedi, tu as été la seule à avoir du plaisir sous mes doigts, j’en rêve depuis que tu m’as quitté.
Hier, j’ai passé mon après-midi à m’enfoncer des godes, j’ai eu du plaisir, mais je suis restée insatisfaite, je sentais mes doigts qui t’ont touché, mais ton odeur avait disparu.
Je te choque !
• Non, bien que je n’aie pas de godes, mais Lucien en revenant de son jogging ne t’a pas fait l’amour !
• Ma pauvre chérie, crois-tu, lorsqu’il va faire son ...