1. Vive la montagne


    Datte: 02/02/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Oral pénétratio, init, initfh, nature, Auteur: Apv, Source: Revebebe

    ... de marche nous bûmes un peu.
    
    — Tu aurais peut-être préféré rester au camping ? lui demandai-je
    — Non. Ça va. Ils partent dans quatre jours, tu sais. Je suis venue ici pour me détendre. Pas pour me prendre la tête avec un mec.
    — Peut-être qu’il aurait aimé te revoir ?
    — Nicolas ? Laura rit avant de reprendre. Il est mignon, je te l’accorde mais il part bientôt.
    — Tu as passé un bon moment quand même hier soir ?
    
    Elle rougit un peu en riant :
    
    — Oui c’était bien. Nous nous sommes bien amusés…
    
    Je la fixais…
    
    — Nous nous sommes juste embrassés, avoua-t-elle enfin.
    — Ah ! Très bien.
    
    J’étais un peu étonné. Moi, à son âge, nous n’aurions pas seulement mélangé notre salive ! Je fais un vieux célibataire habitué aux histoires d’un soir. Elle est encore romantique, pensai-je en me demandant si elle était encore vierge.
    
    Nous repartîmes et je la taquinais encore avec cette histoire. Une heure après nous bifurquâmes du chemin de randonnée et je menais mon accompagnatrice à travers un petit bois puis nous longeâmes un ruisseau. Laura était en nage. Peu habituée à l’effort physique, la pauvre soufflait comme une bête.
    
    — Tu veux te reposer ?
    — Non ça va, mentit-elle.
    
    Je l’observai un moment et lui conseillai de se rafraîchir au ruisseau. Nous posâmes nos sacs et, en guise d’exemple, j’ôtai mon maillot et m’aspergeai avec l’eau glacée.
    
    — Ouah, tu es musclé !
    — Ben. Oui. Je suis monsieur univers, plaisantai-je.
    
    Je frottais mes pectoraux saillants avec ...
    ... cette eau rafraîchissante. Laura s’approcha doucement, un peu à l’écart. À genoux, elle ôta son maillot blanc. Je me détournai quand je la vis en soutien-gorge. Les gourdes étaient à remplir et je les saisis. C’est à ce moment-là que je remarquai qu’elle était torse nu. Elle s’aspergeait le corps en poussant des petits cris.
    
    Nous repartîmes peu après.
    
    — Il ne reste que trente minutes.
    — Que trente minutes ! dit-elle, découragée.
    
    Je remarquai ses tétons pointant à travers son maillot. La coquine n’avait pas remis son soutien-gorge ! Ce fut la première fois que je la regardai comme une femme.
    
    Nous passâmes un petit col et nous dévalâmes dans un petit vallon herbeux. Plusieurs filets d’eau s’écoulaient. Laura cria de joie lorsqu’elle aperçut mon refuge mystérieux.
    
    — C’est magnifique, Michel !
    — Oui. J’aime bien venir ici tous les ans. Il semble que personne ne passe par ici depuis des années. Nous sommes seuls au monde !
    
    Nous nous installâmes et nous nous reposâmes le reste de la journée. Le soir, la fille de mon meilleur ami fit la cuisine sur le feu que j’avais allumé. Pas d’eau courante, pas d’électricité : juste la nature comme ressource et un toit et des murs en pierre pour se protéger.
    
    Écrasé par la fatigue, le jeune corps de Laura lui suppliait de s’endormir mais elle voulait rester avec moi pour contempler la voûte étoilée. Le froid tomba et nous rentrâmes dans le refuge où j’allumai un feu. Des bougies à côté de nos lits servaient d’unique éclairage. ...
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