1. Jade et Jules en vacances (1)


    Datte: 02/02/2021, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... s’inquiéter des dégâts collatéraux. Au hasard, Jules décide d’aller vers le sud en marchant les pieds dans l’eau. Jade proteste pour la forme mais ne lâche pas sa main et suit le mouvement. Comme d’habitude.
    
    Après deux cents mètres et une petite dune couverte d’épineux, l’ambiance change : il n’y a que quelques personnes installées loin les unes des autres, pas d’enfants ni d’ados. Le calme !
    
    — Tu as vu, les femmes sont seins nus ici, s’inquiète déjà la jeune fille.
    
    — Et alors ? Tu as de très jolis seins, tu sais. Et puis tu n’es pas obligée de faire comme elles.
    
    Jade est un peu rassurée, et ils cherchent où se poser : près de l’eau à un endroit tranquille. Ce faisant, ils avancent et se rendent compte qu’il n’y a ici que quelques couples pas très jeunes, et surtout des hommes seuls ou en petits groupes. Beaucoup de maghrébins et de Noirs de tous âges, et la jeune fille se crispe en réalisant que certains sont nus, exposant sans gêne leurs attributs.
    
    — C’est un coin naturiste, Jules. Tu es sûr qu’on ne risque rien ?
    
    — On dirait, mais tout le monde n’est pas nu non plus. Il n’y a rien à craindre. Tiens, on s’installe ?
    
    Les deux jeunes étalent leurs serviettes et plantent le parasol acheté le veille, ils posent leurs sacs de tissu bariolé à l’ombre et vont se baigner. L’eau est un peu fraîche mais agréable, ils nagent, jouent et discutent un bon moment. Quand ils reviennent vers leur emplacement, ils s’aperçoivent que plusieurs hommes se sont installés ...
    ... tout près. Sans chercher à masquer leur intérêt, ils les regardent approcher, leurs yeux concupiscents détaillant ouvertement Jade.
    
    Il faut dire que son bikini ne laisse rien ignorer de son anatomie, les seins dardés par le petit vent frais apparaissant clairement sous le fin tissu. Feignant d’ignorer les intrus, Jules s’assied et Jade se pose à son côté, un peu inquiète.
    
    — Jules, chuchote-t-elle, tous ces hommes, ils nous regardent...
    
    Avant que Jules puisse lui répondre, deux hommes s’approchent. Musculeux, la peau sombre et velue, le moins grand a probablement la quarantaine bien sonnée et l’autre, immense, moins de trente ans. Leurs maillots de bain moulent agressivement leurs virilités ; Jade rougit, incapable de détourner ses yeux des bas-ventres exposés. Elle avale difficilement sa salive, troublée par la taille conséquente des sexes qu’elle devine, à peine masqués sous le tissu bien tendu.
    
    — Alors, les jeunes, on vient sur notre plage ? Ici, c’est à poil, seins nus au minimum. Tu as dix secondes pour enlever ton soutien-gorge.
    
    — Mais... commence Jules, on ne savait pas.
    
    — Neuf, huit, sept, six...
    
    — Monsieur, je l’enlève, regardez... s’écrie éperdue la jeune fille, dégrafant l’attache dans son dos.
    
    — De toutes manières, nous allions partir, hasarde Jules d’une voix blanche.
    
    — Non. Vous restez là. Beaux nénés, la jeunesse. Tu t’appelles comment ?
    
    — Jade, monsieur. Et mon fiancé, c’est Jules.
    
    — Jade, n’essaie pas de masquer tes seins, tu vas ...