1. Piscine du soir... et Final


    Datte: 02/02/2021, Catégories: 2couples, couplus, vacances, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme nopéné, échange, Humour Auteur: Bali balo, Source: Revebebe

    ... genoux écartés. À genoux derrière elle, je l’enlace, prend ses seins, son ventre, son sexe en couvrant son cou de baisers furieux. Toujours à genoux, elle s’est renversée en arrière. Je verse du champagne sur son torse, et caresse, caresse, lèche, embrasse. Elle a largement écarté les genoux, mes doigts la pénètrent sans difficulté, accueillis qu’ils sont par l’excitation. Ma langue va recueillir les gouttes de champagne qui égouttent en bas de son ventre, et le mélange avec les gouttes de son plaisir est extraordinaire.
    
    Martine et Jean Pierre sont en position de soixante-neuf. Il lui broute le minou sauvagement pendant qu’elle poursuit son apprentissage de gorge profonde.
    
    Sophie est restée sur les genoux écartés, mais elle s’est maintenant penchée en avant, la tête appuyée sur ses coudes… Alors, là, c’est magnifique. Le cul de Sophie, somptueux, triomphant, formidable, là, pour moi. Religieux ! Je m’approche, subjugué par le spectacle, ce sexe long, large, amazonien, bordé de ses poils frisottés, mais qu’elle a rasés plus haut, autour de son petit trou au faux air d’innocence. Je tombe à genoux et je l’embrasse. Petits baisers d’abord, comme pour se présenter et pour faire connaissance. Exploration avec la langue ensuite, les abords d’abord, bien méticuleusement, au bord des grandes lèvres, autour de la petite porte…
    
    Je reprends la bouteille de champagne et la vide entre ses fesses. Et puis, écartant doucement ses fesses à deux mains, je lape le liquide à grands ...
    ... coups de langue, sur toute la hauteur, du haut de la raie des fesses jusqu’à son petit bouton. Et puis je caresse, avec le tranchant de ma main d’abord, avec un, deux, trois doigts…
    
    Elle a bien creusé les reins, et son sexe est là, devant moi, ouvert, presque béant, comme appelant ! J’y engouffre ma langue, ma main, ma bite, et à nouveau la langue… J’écarte les fesses au maximum, pour y enfourner mon visage, ma bouche, mon nez… J’écarte encore, titille le petit trou avec le bout de ma langue, puis le lèche, titille encore, essaye de le pénétrer. Ma langue bute, je mets un doigt, puis deux, Sophie gémit, et ce n’est pas de douleur.
    
    Martine chevauche maintenant J.P., furieusement, en prenant ses seins à pleine main et en criant. J’ai pénétré Sophie, son sexe autour du mien. J’essaye de goûter à fond ce contact, de m’enfoncer au plus profond, j’entame le va-et-vient, sortant presque complètement, et m’enfonçant à nouveau jusqu’à la garde. Mes mains tantôt enserrent ses hanches, tantôt écartent ses fesses comme pour l’ouvrir en deux. Cet œil noir qui me regarde m’appelle, et, au bout de quelques va-et-vient dans son vagin, je me présente à l’entrée de petit trou, déjà bien travaillé par mes doigts. Mon sexe est déjà tellement lubrifié, tellement dur et elle tellement offerte que je pénètre presque sans difficulté. Une de mes mains lui creuse les reins, tandis que l’autre est retournée en bas : mon pouce a pris la place de ma verge, et laboure son vagin et son clitoris. Elle ...
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