Piscine du soir... et Final - Histoires de Sexe

Piscine du soir... et Final

... réponds. La prochaine fois on aura tous les yeux bandés
— Ou bien personne ne les aura bandés, répond Sophie. Je parle des yeux, bien sur, ajoute-t-elle en lançant un coup d’œil sur mon bas ventre…

Nous sortons de l’eau. Sophie me tend une serviette de bain :

— Essuie-moi, s’il te plaît.

Je la frotte vigoureusement, puis plus doucement sur des régions réputées fragiles. Arrivé au bas ventre, mes mouvements se font plus doux, plus délicats, pas trop quand même ! Et bien sûr mon sexe commence à réagir. Martine lui donne une petite tape :

— Couché, toi, il y a du monde : reste correct !
— Mais il ne fait pas le taper comme ça, proteste Sophie : il est si mignon !

Et elle lui fait des caresses comme à un petit toutou en lui disant des mots gentils. Le toutou en question commence à redresser la tête.

— Mais c’est qu’il va faire le beau, le coquin
— Si tu le caresses comme ça, ce ne sera plus un toutou, mais un labrador qui va faire le beau !
— Ouah ! ouah ! appelle Jean Pierre : j’ai aussi un petit chien qui aime bien les caresses.

Martine se retourne vers lui :

— Oh ! mais ce n’est pas un petit toutou, ça ! Je crois que ça va être un bien grand et gros chien-chien !
— On devrait faire un concours de dressage, lance Sophie à Martine : quelle est celle de nous deux qui saura le mieux faire faire le beau au toutou.
— D’accord, répond Martine, je m’occupe de Jean-Pierre : ça me changera.

Martine me surprend. On n’avait jamais envisagé ce genre de ...

... situation… Et elle se met à genoux devant Jean Pierre, et prend son sexe entre ses mains.

— Défense d’y mettre la bouche : les mains seulement, autrement, c’est trop facile.

Et les deux filles nous entreprennent. Martine, méticuleuse, a pris presque religieusement l’engin de Jean-Pierre entre ses deux mains, et le branle doucement et méthodiquement, tandis que Sophie me fait des agaceries du bout des doigts, avant de le prendre dans sa main et de commencer un va-et-vient très doux. À ce train là, et dans l’état d’excitation où nous a mis le jeu de Colin Maillard, les érections sont rapides et vigoureuses. Quand je sens que ça commence à bientôt trop faire, j’interromps le jeu

— Stop ! Résultats !

Les filles s’écartent et nous contemplent. À vrai dire, la queue de Jean Pierre est plus grosse que la mienne, ce qui n’a pas une importance fondamentale. Par contre, nous bandons tous les deux biens durs !

— Egalité pour les dresseuses !

On est tous les deux, là, avec notre érection… Désignant sa queue du menton, Jean-Pierre demande :

— Bon ! Et maintenant, qu’est-ce qu’on en fait ?
— C’est vrai, admet Sophie : on ne peut décemment pas les laisser comme ça ! On va faire un concours de pipes !

Elle s’agenouille devant son homme, approche sa bouche… Martine, décidément de plus en plus surprenante, l’arrête :

— Et si on échangeait, pour une fois ? Vous êtes d’accord, les mecs ?

Tu parles si les mecs sont d’accord ! Jean Pierre et moi nous étendons sur les ...