Viols au lycée 03 - Histoires de Sexe

Viols au lycée 03

... caleçon en même temps, les yeux de Susan s'écarquillèrent à la vue de son gros et grand pénis.

Lorsqu'elle avait passé la main dans son caleçon pour le masturber elle n'avait qu'un petit morceau de sa monstrueuse bite.

Mais maintenant, elle la voyait dans toute sa gloire, fascinée elle sentait sa peur grandir.

Susan savait que l'instant fatal était arrivé... Qu'elle allait bientôt devoir endurer cette bite monstrueuse... Elle le sentait déjà frotter son instru-ment le long de sa fente juteuse... Il allait la violer... La plus grosse bite qui l'ait jamais pénétrée...

- Oh... Mon Dieu... Mon Dieu... Il va me tuer avec son énormité! frissonnait-elle affolée.

- Je vous en prie... S'il vous plait pas ça... Non pas ça... Se mit-elle à sangloter piteusement.

Marcus posa ses mains sur ses genoux et lui caressa tendrement les cuisses, elle sut que la suite était proche, elle pleurnicha à nouveau :

- Non, S'il vous plaiiittttttttt... Je vous en priiiiiiiiiiieeeeeeeeeee... Ne me violez passsssssssssss... S'il vous plaaiiiiiiiiiiiiit...

Se débattant à nouveau, elle sentit des mains lui agripper fermement bras et jambes, elle se mit à frissonner et à trembler lorsque Marcus gloussa :

- Il est temps de te dévaster la chatte salope!

Alors que le matelas s'enfonçait sous le poids de Marcus qui l'enfour-chait elle supplia de plus belle :

- Non... Non... Non, je vous en prie... Ne me violez pas... S'il vous plait ne me violeeeeeeeez pas... S'il vous ...

... plaiiiitttttttttttt...

Ayant senti plus tôt sa taille, et voyant maintenant l'énorme verge dé-ployée, elle constatait que la bite de cet adolescent s'avérait bien plus longue et plus grosse que celle de son mari! En comparaison celle de son mari ressemblait à un jouet...

- Je vous en prie... Nonnnnnnnnn... S'il vous plait... Sanglotait-elle éperdue.

C'était du pur plaisir pour Marcus de l'entendre geindre alors qu'il sentait l'étreinte ferme de ses muscles vaginaux sur son épaisse queue :

- Oaieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee... Arrêteeeeezzzzzzzz... Je vous en prieeeeeee... Oh mon Dieuuuuuuuuu... Vous me tuezz-zzzzzzzzz...

Agrippant fermement ses fesses il se retira de quelques centimètres et s'enfouit à nouveau, avec la même violence dans le ventre de la pauvre madame Deming. qui gémissait de plus belle :

- Arrêtezzzzzzzzz... Cesseeeeezzzzzz... J'ai maaaaaaaaaaallll... Si maaallllllll...

- Oarggggggggggggggggghhhhhhhhhhhhh! Geint elle à nouveau alors qu'il s'enfouissait dans ses tréfonds intimes, là ou per-sonne n'était parvenu..

C'était si pénible, si humiliant d'être violée dans le lit qu'elle partageait avec son mari, de sentir les grosses couilles gorgées de foutre de cet ado noir claquer dans sa vallée culière.

- Oh mon Dieu... Faite moi mourir... Faite moi mourir... Priait-elle le ciel.

- Bordel... Ce que t'es étroite madame Deming... Encore plus étroite que certaines vierges que j'ai déniaisée... Ah, oui... Ah, oui... Oh chérie... T'es tu déjà fait baiser ...