La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1095) - Histoires de Sexe

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1095)

La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -

- … Tu devrais passer, j’ai trouvé une femelle…

- …

- Viens je te dis… (Il raccrocha) - Du vin ordonna-t-il !

Je le resservais encore et encore mais j’avais l’impression qu’il le buvait comme si cela avait été de l’eau… Il marchait droit, sans aucun problème. Tout d’un coup, il vint vers moi, et dit :

- Viens m’embrasser cocotte !

Il sentait fort le vin, et comme je ne venais pas assez vite à son goût, en une seconde, je vis la main se lever, je me protégeais de la gifle qui arrivait mais c’est sur mon sein que son énorme « paluche » s’abattit, le faisant tomber sur le bas de mes côtes. Comme je criais :

- Tais-toi donc la femelle, t’as pas compris que tu dois obéir ? Et vite en plus… Ici ce sont les mâles qui commandent…

Alors que je touchais mon sein meurtri, je ne pouvais faire autrement que de l’embrasser sur la bouche quand il attrapa, de sa grosse main, mon menton pour accoler ses lèvres buccales aux miennes… ‘Pouah !’, me pensais-je… Il était bien plus grand que moi aussi je dus me mettre sur la pointe des pieds pour arriver à sa bouche, tandis que lui, me saisissant les tétons, les étirait vers lui ou alors, les enfoncer profondément en mes seins, les lâchant ensuite le temps qu’ils ressortent et ainsi de suite…

- Tu as un beau cul, ma salope…

- Merci Monsieur, répondis-je tentant naïvement de l’amadouer…

- ...

... Viens par ici ordonna-t-il !, Lève tes bras, salope !

Je levais mes bras et les gardais ainsi… Il allait et venait, repartait, revenait semblant chercher quelque chose, mais quoi ? Enfin revenu, je ne bougeais toujours pas et alors que j’allais tourner la tête vers lui, deux puissantes mâchoires s’abattirent sur ma tête, c’étaient ses doigts qui m’immobilisaient me faisant comprendre de ne pas bouger. Subitement je ne vis plus rien, un large bandeau sur les yeux, (serviette plus que bandeau) me barrait toute vue. J’entendis un tiroir s’ouvrir, se refermer, et sentit qu’il mettait une corde autour de mes poignets. Il lança je crois la corde autour d’une poutre et tira dessus, ce qui allongea encore plus mes bras, tira encore et encore, me faisant me dresser sur le pointe des orteils et fit un nœud m’immobilisant dans cette position. J’étais tétanisée par la peur… Je l’entendais bouger des chaises…aller, venir, sans un mot puis, plus rien… Soudain des coups de ceinture s’abattirent sur mes fesses, réguliers, à la façon d’un métronome, pendant plusieurs minutes, les coups tombaient, tombaient… puis cessèrent… J’avais les fesses en feu, je respirais vite, j’avais mal, très mal… Puis ce fut le tour de mes seins de recevoir des caresses, tout d’abord de ses grosses mains, qui frappaient de haut en bas, puis de bas en haut, faisant remuer mes seins en tous sens… Ensuite, comme je ne voyais rien, ce fut avec, je pense une badine de cingler, seins, tétons, reins, dos, épaules… C’est ...